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dimanche 27 juillet 2025

Le Monde, est-il un Journal antisémite ?

Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde en 1944, a  collaboré avec le régime de Vichy. Il fut nommé en 1940 par le gouvernement de Pétain pour réformer la presse. 

Toutefois, en 1942, alors qu’il s’aperçoit que le vent a tourné à Stalingrad il s’éloigne de Vichy.
 

il fonde Le Monde,  en 1944 sur les cendres du journal Le Temps, afin d’essayer d’établir après la guerre un journal de référence indépendant de tout pouvoir politique ou financier.
 

Ainsi, si l’on peut pointer son passage initial par Vichy, le regard  du journal sur les juifs  rescapés de la Shoah et du petit état d’Israel reste trouble, surtout après le Shoah.


 

 

la présence problématique de Roger Garaudy et de l’abbé Pierre, et leur influence sur la ligne éditoriale ou l’atmosphère idéologique dans laquelle certains médias français (dont Le Monde) ont évolué vis-à-vis d’Israël et des Juifs, notamment dans les années 1980-1990.

🧱 Une critique d’Israël enracinée dans l’histoire idéologique de 

Le Monde



De Beuve-Méry à Plenel, via Garaudy et l’abbé Pierre : une continuité idéologique avérée ?


L’accusation d’un antisémitisme larvé ou d’un biais anti-israélien systémique au sein 

du journal Le Monde revient régulièrement, non seulement en raison des prises de 

position critiques à l’égard d’Israël, mais aussi en lien avec l’environnement 

idéologique que ce journal a reflété et parfois relayé, notamment dans les années 1980 

2000.

 

Le journal a adopté depuis les années 1960 une ligne critique envers Israël, parfois 

déséquilibrée ou caricaturale.



Cette ligne s’inscrit dans une vision soit disante  postcoloniale du monde et non 

d’après eux !!!  dans un rejet ethnique ou religieux des Juifs.

 

Certains de ses éditorialistes ont frôlé les codes de l’antisémitisme contemporain 

(essentialisation d’Israël, stigmatisation du sionisme).


Mais certains débordements éditoriaux ont nourri l’ambiguïté, par exemple 

 

La republication d’un dessin de Plantu où un soldat israélien piétinait un bébé (1994), 

faisant le parallèle avec les nazis w le juif étant devenu le nouveau SS. 

 
 

La mise en une de photos d’enfants palestiniens blessés sans contexte pendant 

l’Intifada (2000–2002), est mise en avant, mais jamais des explosions de bus ou des 

bombes ou mitraillages de cafés ou de boites de nuit.

L’accueil parfois complaisant d’auteurs liés à la mouvance antisioniste radicale en 

articles ou en tribune sans jamais donner réellement de droit de réponse .

Au centre de ce débat : des figures comme Roger Garaudy ou l’abbé Pierre, dont les 

positions ont profondément troublé la communauté juive et certains intellectuels, et 

que Le Monde ou ses satellites (Le Monde diplomatique, entre autres) ont, à certains 

moments, traités avec une indulgence troublante.




📚 Roger Garaudy, de la philosophie au négationisme “tiers-mondiste”


 


Ancien philosophe marxiste converti à l’islam dans les années 1980, Roger Garaudy a 

incarné une mutation idéologique caractéristique d’une partie de l’intelligentsia 

française post-coloniale :

 

D’abord communiste, il glisse vers une vision anti-occidentale radicale, 

Puis développe une rhétorique pro-palestinienne obsessionnelle, souvent teintée de 

complotisme antijuif.



En 1995, il publie « Les mythes fondateurs de la politique israélienne », ouvrage 

négationniste, dans lequel il met en doute la réalité de la Shoah comme “instrument 

politique” du sionisme.

 

Le livre est condamné pour contestations de crimes contre l’humanité en 1998. 

Pourtant, certains médias, intellectuels et personnalités comme l’abbé Pierre refusent 

alors de le condamner sans ambiguïté.

 

Or, Le Monde a couvert cette affaire sans grande vigueur morale, parfois même avec 

une forme de neutralité problématique, voire de fascination pour “l’hérétique”.

 

✝️ L’abbé Pierre et sa “faute de discernement”




 


L’abbé Pierre, figure morale immense de la France d’après-guerre, a choqué en 1996 

en apportant son soutien à Roger Garaudy, qu’il considérait comme un ami. 

a refusé de rompre avec Garaudy, le suivant dans la voie du négationniste  

Il a même affirmé qu’“il y avait des exagérations dans la mémoire juive”, propos 

ambigus et blessants. 

 

On connait aujourd'hui la perversité de cet homme d’église qui a passé sa vie à tromper son entourage et à abuser sexuellement des jeunes filles et des enfants … 




Dans ce climat, Le Monde — tout en publiant des réactions indignées — n’a jamais 

rompu symboliquement ou moralement avec l’abbé Pierre ou Garaudy, les traitant 

comme des figures de débat légitimes, alors même que leurs propos ont nourri en 

permanence les réseaux antisémites, islamistes ou antisionistes radicaux.



 



📰 Une ligne éditoriale qui favorise les narratifs “tiers-mondistes”


La critique d’Israël par Le Monde s’inscrit depuis les années 1970 dans une logiqu 

douteuse :  

de soutien aux peuples dominés (Palestiniens, pays du Sud Global) et appui aux 

mouvements terroristes. 

d’identification à des causes anti-impérialistes, 

de relativisation du sionisme, perçu comme un nationalisme parmi d’autres.



C’est dans ce contexte que Le Monde et surtout Le Monde diplomatique ont :

 

 

Donné tribune à Edward Saïd, Alain Gresh, Ignacio Ramonet, 

Minimisé les menaces islamistes, ou présenté le Hamas comme une résistance armée 

légitime,

 
 
⚖️ Un environnement toxique,

le journal a participé, par ses choix éditoriaux, à un glissement idéologique où Israël 
est devenu le “coupable par principe”, où les alliances douteuses (avec Garaudy, 
l’abbé  Pierre, voire certains islamistes extrémistes comme Tarik Ramadan ou même 
modérés) ont sapé la légitimité de la critique en lui donnant des accents obsessionnels, 
souvent haineux.
 
La critique d’Israël y est devenue la norme, le masque moral d’une aversion plus 
profonde pour le fait juif national.
 
La tolérance face aux excès du mouvement d’extrême-gauche LFI est avérée , cela 
inclut bien sûr l’anti sionisme et l’antisémitisme, banalisant la haine de l’autre voire la 
violence dans un but électoral. 
 
Edwy  Plenel  continue son acharnement dans un nouveau média en ligne Mediapart 
l’appui aux mouvements terroristes Hezbollah, Hamas, Houtis sont tous décrits 
comme  des mouvements résistants …

Dénoncer ce qu'il appelle le “lobby sioniste et juif » ou la “diplomatie judéo-américaine”, formulations aux accents antisémites évidents. 

on se demande à qui ou à quoi !

A mon avis des journalistes sans morale et aujourd'hui corrompus au nouveau pouvoir Qatari !


© 2025 JBCH. Reproduction interdite sans autorisation.



 Extrait du Monde Journal qui ne frise plus avec l'antisionisme et l'antisémitisme un exemple du 29/07/2025



 


Mais qui est réellement Zelinsky ? (FR, EN, ES)


Zelensky : un président juif en Ukraine (FR, EN, ES)


Volodymyr Zelensky est né en 1978 à Kryvyï Rih, dans une famille juive russophone de l’est de l’Ukraine. Son grand-père a combattu dans l’Armée rouge contre les nazis ; plusieurs membres de sa famille ont été exterminés pendant la Shoah.


Élu en 2019, à la surprise générale, il est devenu le premier président juif d’Ukraine, pays dont l’histoire est traversée par une forte tradition antisémite, depuis les pogroms tsaristes, les massacres de la guerre civile (1919-21), ceux de la Shoah (Babi Yar, 1941), jusqu’aux années soviétiques de répression.


Son élection fut saluée par de nombreux intellectuels comme le signe d’une rupture avec les vieux démons ukrainiens. À noter : le Premier ministre de l’époque, Volodymyr Groïssman, était lui aussi juif. Un fait unique dans un pays européen non-israélien.


“Le retour du refoulé juif” ?


Le terme freudien de “retour du refoulé” s’applique bien à l’Ukraine : l’histoire juive y est omniprésente (Kiev, Odessa, Lviv…), mais longtemps niée ou occultée.


François Margolin (réalisateur de “Les Petits soldats du califat”, “Un instant d’égarement”, etc.) a justement réfléchi à ce paradoxe, dans des textes et documentaires sur l’Europe centrale, où il évoque ce “retour du refoulé juif” : l’idée qu’après des siècles d’effacement, une mémoire juive enfouie refait surface… par la culture, l’art, ou la politique.

https://akadem.org/sommaire/themes/histoire/diasporas/les-juifs-de-russie/zelensky-un-president-juif-en-ukraine-24-09-2019-114293_76


Les massacres de juifs par centaines de milliers par des ukrainiens laissent une trace ineffaçable dans la mémoire juive... (Babi Yar)



Zelensky, issu du monde du spectacle, incarne peut-être cette revanche symbolique de l’identité juive sur les régimes autoritaires qui ont tenté de la faire disparaître.


“Trop d’années à la tête d’un pays en guerre… ça use ?”

Oui, Zelensky est épuisé, comme en témoignent ses apparitions de plus en plus graves, son éloignement du ton léger de ses débuts, et ses déclarations sur “le poids du sang”.

Depuis l’invasion russe du 24 février 2022, il est devenu le symbole mondial de la résistance ukrainienne, mais il paie cher ce rôle : tensions internes, fatigue politique, pression diplomatique, désillusion stratégique.



Usure morale et politique :


Il a récemment évoqué en privé, selon certaines sources diplomatiques, qu’il ne se représenterait pas après la guerre.

Il est désormais isolé face à certaines factions militaires et politiques qui souhaitent une ligne plus dure que la sienne.

Il n'a pas su se défendre face aux insultes en direct a la TV, du clan Trump dans le bureau ovale de la Maison Blanche, mais cette situation de piège l'a servi et l'a rendu encore plus sympathique aux yeux de l'opinion publique internationale.


une figure tragique et universelle




Zelensky incarne à la fois la fierté retrouvée d’un peuple et la vulnérabilité humaine du chef, entre courage et fatigue, image et solitude. 


Le fait qu’il soit juif dans un pays historiquement traversé par l’antisémitisme ajoute une couche symbolique intense à son parcours.


Face à un sombre tyran qui a le nombre, l'argent et la puissance militaire, je parle de Poutine,  Zelinsky ne peut que craquer, d'autant plus que les USA de Trump pensent que cette guerre ne les regarde pas et que le territoire ou elle se situe est trop éloigné. 


L'Europe est trop veule, elle pleure son gaz russe , perdu ! 


L'Allemagne est la grande perdante, et aujourd'hui, elle s'aperçoit qu'elle est militairement démunie et souhaite posséder l'arme nucléaire.


Ce conflit qui aurait dû rassembler l'Europe ne fait que la diviser, aucun dirigeant n'ayant la stature pour la rassembler.


Poutine aurait rapidement gagné et avalé toute l'Ukraine ... Mais il est tombé sur un os ... un ancien comédien qui s'est révélé avoir la stature de Churchill : Zelinsky le petit clown juif.



 

Les soldats ukrainiens, à bout de force et avec une aide très timide de l'Europe tiennent héroïquement sur un front de 2 000 Km ... mais jusqu'à quand ? 


Zelinsky a utilisé l'intelligence de ses ingénieurs, poussé la constructions de drones et utilise quand il le peut des tactiques imprévisibles afin de tromper son ennemi. Ainsi Moscou a été bombardée, des bombardiers nucléaires ont été détruits, et la flotte russe n'ose plus s'aventurer en Mer Noire.


Si la corruption, à la soviétique existe  toujours en Ukraine, seule sa disparition et celle des oligarques pourrait sauver le pays pour qu'il entre dans un avenir proche dans l'Union Européenne voire dans l'OTAN. 


Tout dépend de l'usure de l'économie russe, et de sa démographie défaillante, Russie qui a tout misé sur l'industrie militaire, ce qui peut causer la perte de cet ancien grand pays 

...  au profit de la Chine.

© 2025 JBCH. Reproduction interdite sans autorisation.


La véritable Histoire de Vladimir Zelinsky







🇬🇧 

English Translation


But who really is Zelensky?


Zelensky: A Jewish President in Ukraine


Volodymyr Zelensky was born in 1978 in Kryvyi Rih, into a Russian-speaking Jewish family from eastern Ukraine. His grandfather fought in the Red Army against the Nazis; several members of his family were exterminated during the Holocaust.


Elected in 2019, to everyone’s surprise, he became the first Jewish president of Ukraine—a country with a deeply rooted history of antisemitism, from Tsarist pogroms and civil war massacres (1919–21) to the Holocaust (Babi Yar, 1941) and Soviet-era repression.


His election was hailed by many intellectuals as a break from Ukraine’s dark past. Notably, the Prime Minister at the time, Volodymyr Groysman, was also Jewish—a unique occurrence in a non-Israeli European country.


“The return of the repressed Jewish identity”?


The Freudian term “return of the repressed” fits Ukraine well: Jewish history is omnipresent (Kyiv, Odessa, Lviv…) but has long been denied or suppressed.


François Margolin (director of The Little Soldiers of the Caliphate, A Moment of Madness, etc.) explored this paradox in texts and documentaries on Central Europe, where he refers to this “return of the repressed Jewish identity”: the idea that, after centuries of erasure, a buried Jewish memory resurfaces—through culture, art, or politics.


The massacres of Jews by hundreds of thousands of Ukrainians remain an indelible scar in Jewish memory… (Babi Yar)


Zelensky, from the entertainment world, may embody this symbolic revenge of Jewish identity against the authoritarian regimes that sought to erase it.


“Too many years leading a country at war… does it wear you out?”


Yes, Zelensky is exhausted, as shown by his increasingly solemn appearances, his departure from the light tone of his early days, and his remarks on “the weight of blood.”


Since the Russian invasion of February 24, 2022, he has become a global symbol of Ukrainian resistance—but he pays a high price: internal tensions, political fatigue, diplomatic pressure, strategic disillusionment.


Moral and political exhaustion:


Recently, he privately indicated—according to diplomatic sources—that he would not run again after the war.


He now faces isolation, with some military and political factions pushing for a harder line than his.


He was unable to defend himself from live insults on TV by the Trump clan in the Oval Office—but this trap actually played in his favor, making him more sympathetic to global public opinion.


A tragic and universal figure


Zelensky embodies both a people’s rediscovered pride and the human vulnerability of a leader, torn between courage and fatigue, image and solitude.


His being Jewish in a country long marred by antisemitism adds a deeply symbolic dimension to his story.


Facing a dark tyrant with numbers, money, and military power—I mean Putin—Zelensky could only bend, especially as Trump’s America believes this war is not their concern and the territory is too far away.


Europe is cowardly—weeping over lost Russian gas!


Germany is the great loser, now realizing its military weakness and seeking nuclear weapons.


This conflict, which should have united Europe, only divides it. No leader has the stature to unify the continent.


Putin might have won quickly and swallowed all of Ukraine… but he ran into a hard bone: a former comedian who turned out to have Churchill’s stature—Zelensky, the little Jewish clown.


Ukrainian soldiers, exhausted and with timid European support, are heroically holding a 2,000 km front… but for how long?


Zelensky has leveraged his engineers’ intelligence, pushed drone development, and uses unpredictable tactics when possible to deceive his enemy. Thus, Moscow has been bombed, nuclear bombers destroyed, and the Russian fleet no longer dares venture into the Black Sea.


While Soviet-style corruption still exists in Ukraine, only its eradication—and that of the oligarchs—could save the country and pave the way toward EU or NATO membership.


Everything depends on the wear and tear of the Russian economy and its failing demographics—a Russia that has bet everything on military industry, which could lead to the downfall of this former great power…


…to the benefit of China.


🇪🇸 

Traducción al español


¿Pero quién es realmente Zelensky?


Zelensky: un presidente judío en Ucrania


Volodymyr Zelensky nació en 1978 en Kryvyi Rih, en el seno de una familia judía rusoparlante del este de Ucrania. Su abuelo luchó en el Ejército Rojo contra los nazis; varios miembros de su familia fueron exterminados durante la Shoá.


Elegido en 2019, para sorpresa general, se convirtió en el primer presidente judío de Ucrania, un país con una larga historia de antisemitismo: desde los pogromos zaristas, las masacres de la guerra civil (1919–21), las atrocidades del Holocausto (Babi Yar, 1941), hasta la represión soviética.


Su elección fue celebrada por muchos intelectuales como una ruptura con los viejos demonios del país. Cabe señalar: el primer ministro de la época, Volodymyr Groysman, también era judío. Un hecho único en un país europeo no israelí.


¿“El retorno de lo reprimido judío”?


El término freudiano “retorno de lo reprimido” se adapta bien a Ucrania: la historia judía está omnipresente (Kiev, Odesa, Leópolis…), pero durante mucho tiempo fue negada u ocultada.


François Margolin (director de Los pequeños soldados del califato, Un instante de locura, etc.) reflexionó sobre esta paradoja en textos y documentales sobre Europa central, donde menciona este “retorno de lo reprimido judío”: la idea de que, tras siglos de borramiento, una memoria judía soterrada reaparece… por la cultura, el arte o la política.


Las masacres de cientos de miles de judíos por parte de ucranianos dejan una huella imborrable en la memoria judía… (Babi Yar)


Zelensky, procedente del mundo del espectáculo, tal vez encarne esta revancha simbólica de la identidad judía contra los regímenes autoritarios que intentaron eliminarla.


¿Demasiados años al frente de un país en guerra… desgastan?


Sí, Zelensky está agotado, como lo demuestran sus apariciones cada vez más serias, su alejamiento del tono ligero de sus inicios y sus declaraciones sobre “el peso de la sangre”.


Desde la invasión rusa del 24 de febrero de 2022, se ha convertido en símbolo mundial de la resistencia ucraniana, pero ese papel le cuesta caro: tensiones internas, desgaste político, presión diplomática, desilusión estratégica.


Desgaste moral y político:


Recientemente, según fuentes diplomáticas, habría manifestado en privado que no se presentaría a la reelección después de la guerra.


Ahora está aislado frente a ciertas facciones militares y políticas que desean una línea más dura que la suya.


No supo defenderse frente a los insultos en directo del clan Trump en el Despacho Oval, pero esa trampa le benefició y lo hizo más simpático ante la opinión pública internacional.


Una figura trágica y universal


Zelensky encarna tanto el orgullo recuperado de un pueblo como la vulnerabilidad humana del líder, entre el coraje y el agotamiento, la imagen y la soledad.


El hecho de ser judío en un país históricamente marcado por el antisemitismo añade una capa simbólica profunda a su historia.


Frente a un tirano sombrío que tiene los números, el dinero y el poder militar—me refiero a Putin—Zelensky solo puede quebrarse, sobre todo porque la América de Trump piensa que esta guerra no le concierne y que el territorio está demasiado lejos.


Europa es cobarde, llora por su gas ruso… ¡perdido!


Alemania es la gran perdedora, y ahora se da cuenta de que está militarmente desarmada y desea poseer armas nucleares.


Este conflicto, que debería haber unido a Europa, solo la divide. Ningún líder tiene la talla para reunirla.


Putin podría haber ganado rápidamente y devorado toda Ucrania… pero se topó con un obstáculo: un excomediante que demostró tener la estatura de Churchill: Zelensky, el pequeño payaso judío.


Los soldados ucranianos, exhaustos y con una ayuda muy tímida de Europa, resisten heroicamente en un frente de 2.000 km… ¿pero hasta cuándo?


Zelensky ha aprovechado la inteligencia de sus ingenieros, impulsado la construcción de drones y utiliza, cuando puede, tácticas impredecibles para engañar a su enemigo. Así, Moscú fue bombardeada, bombarderos nucleares fueron destruidos y la flota rusa ya no se atreve a adentrarse en el Mar Negro.


Aunque la corrupción al estilo soviético sigue existiendo en Ucrania, solo su desaparición —y la de los oligarcas— podría salvar al país y permitirle ingresar pronto en la Unión Europea o incluso en la OTAN.


Todo depende del desgaste de la economía rusa y de su demografía debilitada, una Rusia que ha apostado todo por la industria militar, lo que puede causar la caída de esta antigua gran potencia…


…en beneficio de China.