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mercredi 13 août 2025

L'ONU triche et modifie ses critères de famine rien que pour Gaza ! (suite art du 1er Août). (FR, EN, ES, HE). JBCH N° 225


Erreurs de la presse internationale face aux allégations de "famine"





La presse internationale a souvent été critiquée pour son traitement sensationnaliste et insuffisamment vérifié des informations provenant de Gaza, notamment sur la question de la "famine". Plusieurs erreurs récurrentes peuvent être identifiées :


Manque de vérification des sources : Par manque de professionalisme mais surtout d'éthique, de grands médias comme le New York Times, CNN, BBC ou Libération et Le Parisien, ont relayé des images ou des témoignages sans  vérifier leur authenticité ou leur contexte.


Cet enfant soigné en Israel a une maladie génétique ... Fake encore !


Par exemple, des photos d’enfants squelettiques ont été utilisées pour illustrer une supposée famine généralisée, alors que certains cas concernaient des maladies préexistantes comme la paralysie cérébrale ou des troubles génétiques, sans lien avec une pénurie alimentaire


Ces images, bien que choquantes, ne reflètent pas toujours une réalité systémique mais sont reprises pour leur impact émotionnel. 


Dépendance à des sources biaisées : Les informations relayées proviennent souvent du ministère de la Santé de Gaza, qui n'est autre que le Hamas, ou d’ONG locales opérant sous le contrôle du Hamas.


Ces sources sont rarement croisées avec des données indépendantes, ce qui conduit à la diffusion de récits partiels. Par exemple, les chiffres de malnutrition ou de décès attribués à la famine ne sont pas toujours corroborés par des observateurs neutres, et les médias omettent souvent de mentionner le rôle du Hamas dans le détournement de l’aide alimentaire


Les unes de journaux, comme celle du New York Times ou de Libération, privilégient des images dramatiques pour susciter l’émotion, souvent au détriment de la nuance. Par exemple, une photo publiée par Libération le 24 juillet 2025, montrant un enfant rachitique, a été accusée à tort d’être une image du Yémen datant de 2016.


Cet incident illustre la méfiance envers les médias, alimentée par des erreurs passées, Omission du contexte : Les médias internationaux mentionnent rarement que des quantités significatives d’aide alimentaire entrent à Gaza (par exemple, plus de 200 camions par jour selon le COGAT israélien en août 2025), ou que des marchés locaux continuent de fonctionner dans certaines zones.


Ils omettent également le rôle du Hamas dans la revente d’aide humanitaire à des prix exorbitants ou son accaparement pour ses combattants, ce qui aggrave les inégalités alimentaires .


Ces erreurs volontaires contribuent à un narratif qui accuse principalement Israël de provoquer une crise humanitaire, tout en minimisant les responsabilités du Hamas dans la gestion de l’aide et la manipulation de l’opinion publique.


Le reportage de Bild dénonçant des fausses mises en scène





Le journal allemand Bild, en collaboration avec le Süddeutsche Zeitung, a publié une enquête en août 2025 dénonçant des mises en scène dans les photos de "famine" à Gaza, notamment par le photographe Anas Zayed Fteiha Voici les points clés et une analyse :


Accusations de mise en scène : Bild affirme que certaines photos, largement diffusées par des médias comme CNN, BBC ou Reuters, montrant des femmes et enfants avec des casseroles vides dans des files d’attente, étaient orchestrées pour exagérer la souffrance. Par exemple, une photo montre une foule attendant de l’aide, mais d’autres clichés du même événement révèlent que de la nourriture a été distribuée peu après, ce que les images initiales omettent Cela suggère une manipulation pour accentuer l’effet dramatique.


Profil du photographe : Anas Zayed Fteiha, identifié comme un soi-disant pigiste travaillant pour l’agence turque Anadolu, est accusé d’être un activiste pro-Hamas publiant des contenus anti-israéliens sur les réseaux sociaux . Cela soulève des questions sur son objectivité.


Cependant, le magazine Time a réfuté ces accusations concernant une de ses couvertures, précisant que la photo incriminée, prise le 22 juillet 2025, était l’œuvre d’un autre photographe, Ali Jadallah, et montrait une réelle distribution d’aide alimentaire .


Contexte de contrôle médiatique : Bild et Süddeutsche Zeitung soulignent que le Hamas contrôle étroitement la production d’images à Gaza, limitant l’accès des journalistes étrangers et favorisant des photographes locaux alignés sur ses objectifs . Cette situation complique la vérification indépendante et facilite la diffusion d’images biaisées ou mises en scène pour influencer l’opinion publique occidentale

Critique des médias internationaux : L’enquête de Bild questionne la responsabilité des grands médias qui reprennent ces images sans vérification rigoureuse. Par exemple, Reuters a défendu ses standards d’impartialité, mais d’autres agences, comme AFP souvent partial, ont déclaré examiner plus attentivement les sources avant publication . Cela met en lumière une faille dans les pratiques journalistiques face à des contextes de guerre où l’accès à l’information est restreint.





Modification des critères de l’IPC pour déclarer une famine à Gaza





L’information selon laquelle l’IPC (Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire) a modifié ses critères pour déclarer une famine uniquement pour Gaza soulève des questions sur la neutralité et la rigueur scientifique des organismes affiliés à l’ONU. Voici une analyse des changements mentionnés et de leurs implications


Abaissement du seuil de malnutrition aiguë : Le passage du seuil de 30 % à 15 % d’enfants souffrant de malnutrition aiguë pour déclarer une famine est une modification significative. Ce seuil, historiquement basé sur des normes internationales établies pour des crises comme celles au Soudan ou en Somalie, garantit une certaine rigueur dans la classification. En l’abaissant, l’IPC rend effectivement plus facile la déclaration d’une famine, ce qui peut amplifier la perception de la crise à Gaza .


Changement de méthode (MUAC vs poids/taille) : La mesure de la circonférence du bras (MUAC) est plus rapide et pratique dans des contextes de crise, mais elle est moins précise que la méthode poids/taille, qui est la norme internationale. Le manuel technique de l’IPC stipule que MUAC ne doit pas être un substitut direct, car il peut surestimer la malnutrition dans certains cas . Cette adaptation méthodologique, appliquée uniquement à Gaza, semble donc contourner les standards habituels, ce qui alimente les soupçons de politisation.


Données non vérifiées du Hamas : L’IPC s’appuie sur des données fournies par des autorités locales, en l’occurrence le Hamas, qui contrôle Gaza. Ces données, souvent invérifiables par des sources indépendantes en raison des restrictions d’accès, posent un problème de fiabilité. Par exemple, les rapports de l’IPC de juillet 2025 mentionnent 20 000 enfants traités pour malnutrition aiguë, mais ces chiffres proviennent en grande partie d’hôpitaux sous contrôle du Hamas. Cela contraste avec d’autres contextes où l’IPC exige des données croisées et vérifiées.





Légalité et légitimité de la modification : L’IPC, bien qu’affilié à l’ONU, est un organisme technique et non un organe décisionnel soumis à des lois internationales strictes. Il a donc la latitude d’ajuster ses méthodes en fonction des contextes, mais ces ajustements doivent être transparents et justifiés scientifiquement.


Modifier les critères uniquement pour Gaza est sans précédent dans d’autres crises (par exemple, au Yémen ou au Soudan), soulève des questions sur l’équité et la neutralité. Des experts cités dans les sources dénoncent un "abaissement de la barre" qui pourrait servir des agendas politiques, notamment pour accentuer la pression sur Israël.


Instrumentalisation humanitaire : Dans un contexte où le Hamas exerce un contrôle strict sur l’information et l’aide à Gaza, ces modifications méthodologiques risquent de renforcer un narratif anti-israélien. En facilitant la déclaration d’une famine, l’IPC pourrait alimenter des accusations de "génocide" ou de "crimes de guerre" contre Israël, tout en occultant le rôle du Hamas dans la mauvaise gestion de l’aide.


Cela s’inscrit dans une "guerre des images" où les deux parties cherchent à influencer l’opinion publique .


La situation à Gaza est indéniablement grave, avec des rapports de l’OMS et du PAM avec des cas de malnutrition, Cependant, la couverture médiatique et les ajustements de l’IPC soulignent des failles systémiques dans la gestion de l’information en temps de conflit :


Responsabilité des médias : La presse internationale doit adopter une approche plus rigoureuse, en vérifiant les sources et en contextualisant les images. Les accusations de Bild sur des mises en scène, bien que partiellement contestées (Web:1), rappellent l’importance de la transparence et de la prudence dans la diffusion d’images sensibles.


Image fausse on attend les excuses de Libé !



Neutralité des organismes internationaux : La modification des critères de l’IPC pour Gaza, sans précédent clair ni justification scientifique robuste, compromet la crédibilité de l’ONU. Cela alimente les accusations d’un "deux poids, deux mesures" dans le traitement d’Israël par rapport à d’autres conflits.


Manipulation par le Hamas : Le contrôle strict des images et des données par les terroristes du Hamas, combiné à la dépendance des médias et de l’IPC à ces sources, illustre une instrumentalisation humanitaire. Les récits de famine sont amplifiés pour servir des objectifs politiques, au détriment d’une analyse objective de la crise. La Presse complice tombe dans le panneau.


Si la faim à Gaza est une réalité pour certains segments de la population, son ampleur est souvent exagérée par des images manipulées et des données biaisées.


Les médias doivent redoubler de vigilance, et l’IPC devrait réévaluer ses méthodes pour garantir une classification impartiale et scientifiquement fondée. La politisation de la crise humanitaire ne fait qu’aggraver la méfiance et compliquer les efforts pour une aide efficace.


L'ONU (UN) avec à sa tête Antonio Guterres et Francesca Albanese farouchement pro arabes de Palestine, doivent se douter que la vérité apparaîtra un jour , qu'elle ne s'achète pas ... comme le fait le Qatar.


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un  scientifique, ni un historien, ni un professionnel ... 

C'est délicat de témoigner quand on vit à Paris, loin des scènes politiques,

les photos et films sont prises sur le web, là aussi pour une utilisation personnelle et strictement privée


© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction interdite sans autorisation 



Anglais

Mistakes of the International Press Regarding Allegations of "Famine"

The international press has often been criticized for its sensationalist and inadequately verified coverage of information from Gaza, particularly regarding the issue of "famine." Several recurring errors can be identified:

Lack of Source Verification: Due to a lack of professionalism but above all ethics, major media outlets such as The New York Times, CNN, BBC, Libération, and Le Parisien have relayed images or testimonies without verifying their authenticity or context.

This child treated in Israel has a genetic disease... Fake again!

For example, photos of emaciated children have been used to illustrate an alleged widespread famine, when some cases involved pre-existing conditions like cerebral palsy or genetic disorders, unrelated to food shortages. These images, though shocking, do not always reflect a systemic reality but are used for their emotional impact.

Reliance on Biased Sources: The information relayed often comes from Gaza’s Ministry of Health, which is none other than Hamas, or from local NGOs operating under Hamas’s control. These sources are rarely cross-checked with independent data, leading to the dissemination of partial narratives. For instance, figures on malnutrition or deaths attributed to famine are not always corroborated by neutral observers, and the media often fail to mention Hamas’s role in diverting food aid.

Headlines, such as those from The New York Times or Libération, prioritize dramatic images to evoke emotion, often at the expense of nuance. For example, a photo published by Libération on July 24, 2025, showing a malnourished child, was wrongly accused of being an image from Yemen dating back to 2016. This incident illustrates the distrust toward the media, fueled by past errors.

Omission of Context: International media rarely mention that significant amounts of food aid enter Gaza (e.g., over 200 trucks per day according to Israel’s COGAT in August 2025) or that local markets continue to function in some areas. They also omit Hamas’s role in reselling humanitarian aid at exorbitant prices or hoarding it for its fighters, which exacerbates food inequalities.

These deliberate errors contribute to a narrative that primarily accuses Israel of causing a humanitarian crisis while downplaying Hamas’s responsibility in mismanaging aid and manipulating public opinion.

Bild’s Report Denouncing Staged Photos

The German newspaper Bild, in collaboration with Süddeutsche Zeitung, published an investigation in August 2025 exposing staged photos of "famine" in Gaza, notably by photographer Anas Zayed Fteiha. Here are the key points and analysis:

Accusations of Staging: Bild claims that some photos, widely circulated by media like CNN, BBC, or Reuters, showing women and children with empty pots in queues, were staged to exaggerate suffering. For example, a photo shows a crowd waiting for aid, but other images from the same event reveal that food was distributed shortly afterward, which the initial images omit. This suggests manipulation to heighten the dramatic effect.

Photographer’s Profile: Anas Zayed Fteiha, identified as a supposed freelancer working for the Turkish agency Anadolu, is accused of being a pro-Hamas activist posting anti-Israeli content on social media. This raises questions about his objectivity.

However, Time magazine refuted these accusations regarding one of its covers, stating that the photo in question, taken on July 22, 2025, was by another photographer, Ali Jadallah, and depicted a real food aid distribution.

Media Control Context: Bild and Süddeutsche Zeitung highlight that Hamas tightly controls image production in Gaza, limiting foreign journalists’ access and favoring local photographers aligned with its objectives. This complicates independent verification and facilitates the spread of biased or staged images to influence Western public opinion.

Criticism of International Media: Bild’s investigation questions the responsibility of major media outlets that use these images without rigorous verification. For example, Reuters defended its impartiality standards, but other agencies, like the often-biased AFP, stated they would scrutinize sources more carefully before publication. This highlights a flaw in journalistic practices in war contexts where information access is restricted.

Modification of IPC Criteria for Declaring a Famine in Gaza

The information that the IPC (Integrated Food Security Phase Classification) modified its criteria for declaring a famine solely for Gaza raises questions about the neutrality and scientific rigor of UN-affiliated organizations. Here is an analysis of the mentioned changes and their implications:

Lowering the Acute Malnutrition Threshold: Lowering the threshold from 30% to 15% of children suffering from acute malnutrition to declare a famine is a significant change. This threshold, historically based on international standards established for crises like those in Sudan or Somalia, ensures a degree of rigor in classification. By lowering it, the IPC makes it easier to declare a famine, which may amplify the perception of the crisis in Gaza.

Change in Methodology (MUAC vs. Weight/Height): The mid-upper arm circumference (MUAC) measurement is faster and more practical in crisis contexts but less accurate than the weight/height method, which is the international standard. The IPC’s technical manual states that MUAC should not be a direct substitute, as it may overestimate malnutrition in some cases. This methodological adaptation, applied only to Gaza, appears to bypass usual standards, fueling suspicions of politicization.

Unverified Hamas Data: The IPC relies on data provided by local authorities, in this case, Hamas, which controls Gaza. These data, often unverifiable by independent sources due to access restrictions, pose a reliability issue. For example, the IPC’s July 2025 reports mention 20,-- children treated for acute malnutrition, but these figures largely come from hospitals under Hamas’s control. This contrasts with other contexts where the IPC requires cross-checked and verified data.

**Leg America’s note: The rest of the translation continues in a similar detailed and accurate manner, covering the remaining sections of the text, including the legality and legitimacy of the IPC’s modification, the instrumentalization of humanitarian issues, and the conclusion about systemic flaws in media coverage and the need for impartiality. If you need the full translation, let me know, and I can provide it in a more concise format or continue the detailed version.


Legality and Legitimacy of the Modification: The IPC, although affiliated with the UN, is a technical body and not a decision-making entity subject to strict international laws. It therefore has the flexibility to adjust its methods based on contexts, but these adjustments must be transparent and scientifically justified. Modifying the criteria solely for Gaza, unprecedented in other crises (e.g., Yemen or Sudan), raises questions about fairness and neutrality. Experts cited in the sources denounce a "lowering of the bar" that could serve political agendas, particularly to increase pressure on Israel.

Humanitarian Instrumentalization: In a context where Hamas exerts strict control over information and aid in Gaza, these methodological changes risk reinforcing an anti-Israeli narrative. By facilitating the declaration of a famine, the IPC could fuel accusations of "genocide" or "war crimes" against Israel while obscuring Hamas’s role in the mismanagement of aid. This fits into a "war of images" where both sides seek to influence public opinion.

The situation in Gaza is undeniably serious, with reports from the WHO and WFP citing cases of malnutrition. However, media coverage and the IPC’s adjustments highlight systemic flaws in information management during conflicts:

Media Responsibility: The international press must adopt a more rigorous approach, verifying sources and contextualizing images. Bild’s accusations of staged photos, though partially contested (Web:1), underscore the importance of transparency and caution in disseminating sensitive images.

Fake image, we’re waiting for Libé’s apology!

Neutrality of International Organizations: The IPC’s modification of criteria for Gaza, without clear precedent or robust scientific justification, undermines the UN’s credibility. This fuels accusations of "double standards" in the treatment of Israel compared to other conflicts.

Manipulation by Hamas: The strict control of images and data by Hamas terrorists, combined with the media and IPC’s reliance on these sources, illustrates humanitarian instrumentalization. Famine narratives are amplified to serve political goals, at the expense of an objective analysis of the crisis. The complicit press falls into the trap.

While hunger in Gaza is a reality for some segments of the population, its extent is often exaggerated by manipulated images and biased data. The media must exercise greater vigilance, and the IPC should reassess its methods to ensure impartial and scientifically grounded classification. The politicization of the humanitarian crisis only exacerbates distrust and complicates efforts for effective aid.

The UN, led by Antonio Guterres and Francesca Albanese, who are staunchly pro-Palestinian, must realize that the truth will eventually come to light and cannot be bought... as Qatar does.


Espagnol

Errores de la prensa internacional frente a las acusaciones de "hambruna"

La prensa internacional ha sido frecuentemente criticada por su tratamiento sensacionalista y poco verificado de la información proveniente de Gaza, especialmente en relación con el tema de la "hambruna". Se pueden identificar varios errores recurrentes:

Falta de verificación de fuentes: Por falta de profesionalismo, pero sobre todo de ética, grandes medios como The New York Times, CNN, BBC, Libération y Le Parisien han difundido imágenes o testimonios sin verificar su autenticidad o contexto.

¡Este niño tratado en Israel tiene una enfermedad genética... Falso otra vez!

Por ejemplo, se han utilizado fotos de niños esqueléticos para ilustrar una supuesta hambruna generalizada, cuando algunos casos correspondían a enfermedades preexistentes como parálisis cerebral o trastornos genéticos, sin relación con la escasez de alimentos. Estas imágenes, aunque impactantes, no siempre reflejan una realidad sistémica, pero se utilizan por su impacto emocional.

Dependencia de fuentes sesgadas: La información difundida a menudo proviene del Ministerio de Salud de Gaza, que no es otro que Hamás, o de ONG locales que operan bajo el control de Hamás. Estas fuentes rara vez se contrastan con datos independientes, lo que lleva a la difusión de relatos parciales. Por ejemplo, las cifras de malnutrición o muertes atribuidas a la hambruna no siempre son corroboradas por observadores neutrales, y los medios suelen omitir el papel de Hamás en el desvío de la ayuda alimentaria.

Los titulares, como los de The New York Times o Libération, priorizan imágenes dramáticas para suscitar emociones, a menudo en detrimento de los matices. Por ejemplo, una foto publicada por Libération el 24 de julio de 2025, que mostraba a un niño raquítico, fue acusada erróneamente de ser una imagen de Yemen de 2016. Este incidente ilustra la desconfianza hacia los medios, alimentada por errores pasados.

Omisión de contexto: Los medios internacionales rara vez mencionan que cantidades significativas de ayuda alimentaria ingresan a Gaza (por ejemplo, más de 200 camiones por día según el COGAT israelí en agosto de 2025) o que los mercados locales siguen funcionando en algunas zonas. También omiten el papel de Hamás en la reventa de ayuda humanitaria a precios exorbitantes o su acaparamiento para sus combatientes, lo que agrava las desigualdades alimentarias.

Estos errores deliberados contribuyen a un relato que acusa principalmente a Israel de provocar una crisis humanitaria, mientras minimiza las responsabilidades de Hamás en la gestión de la ayuda y la manipulación de la opinión pública.

Informe de Bild denunciando montajes

El periódico alemán Bild, en colaboración con Süddeutsche Zeitung, publicó una investigación en agosto de 2025 que denunciaba montajes en las fotos de "hambruna" en Gaza, especialmente por el fotógrafo Anas Zayed Fteiha. A continuación, los puntos clave y un análisis:

Acusaciones de montaje: Bild afirma que algunas fotos, ampliamente difundidas por medios como CNN, BBC o Reuters, que muestran a mujeres y niños con ollas vacías en filas, fueron orquestadas para exagerar el sufrimiento. Por ejemplo, una foto muestra a una multitud esperando ayuda, pero otras imágenes del mismo evento revelan que se distribuyó comida poco después, lo que las imágenes iniciales omiten. Esto sugiere una manipulación para acentuar el efecto dramático.

Perfil del fotógrafo: Anas Zayed Fteiha, identificado como un supuesto freelance que trabaja para la agencia turca Anadolu, es acusado de ser un activista pro-Hamás que publica contenido antiisraelí en redes sociales. Esto plantea preguntas sobre su objetividad.

Sin embargo, la revista Time refutó estas acusaciones sobre una de sus portadas, aclarando que la foto en cuestión, tomada el 22 de julio de 2025, fue obra de otro fotógrafo, Ali Jadallah, y mostraba una distribución real de ayuda alimentaria.

Contexto de control mediático: Bild y Süddeutsche Zeitung destacan que Hamás controla estrictamente la producción de imágenes en Gaza, limitando el acceso de periodistas extranjeros y favoreciendo a fotógrafos locales alineados con sus objetivos. Esta situación complica la verificación independiente y facilita la difusión de imágenes sesgadas o montadas para influir en la opinión pública occidental.

Crítica a los medios internacionales: La investigación de Bild cuestiona la responsabilidad de los grandes medios que reproducen estas imágenes sin una verificación rigurosa. Por ejemplo, Reuters defendió sus estándares de imparcialidad, pero otras agencias, como la a menudo parcial AFP, declararon que examinarían las fuentes más cuidadosamente antes de publicar. Esto pone de relieve una falla en las prácticas periodísticas en contextos de guerra donde el acceso a la información es restringido.

Modificación de los criterios del IPC para declarar una hambruna en Gaza

La información de que el IPC (Clasificación Integrada de la Seguridad Alimentaria) modificó sus criterios para declarar una hambruna únicamente para Gaza plantea preguntas sobre la neutralidad y el rigor científico de los organismos afiliados a la ONU. A continuación, un análisis de los cambios mencionados y sus implicaciones:

Reducción del umbral de malnutrición aguda: Reducir el umbral del 30% al 15% de niños que sufren malnutrición aguda para declarar una hambruna es un cambio significativo. Este umbral, históricamente basado en estándares internacionales establecidos para crisis como las de Sudán o Somalia, garantiza un cierto rigor en la clasificación. Al reducirlo, el IPC facilita la declaración de una hambruna, lo que puede amplificar la percepción de la crisis en Gaza.

Cambio de metodología (MUAC vs. peso/altura): La medición de la circunferencia del brazo (MUAC) es más rápida y práctica en contextos de crisis, pero menos precisa que el método peso/altura, que es el estándar internacional. El manual técnico del IPC estipula que el MUAC no debe ser un sustituto directo, ya que puede sobrestimar la malnutrición en algunos casos. Esta adaptación metodológica, aplicada solo a Gaza, parece eludir los estándares habituales, lo que alimenta las sospechas de politización.

Datos no verificados de Hamás: El IPC se basa en datos proporcionados por las autoridades locales, en este caso, Hamás, que controla Gaza. Estos datos, a menudo no verificables por fuentes independientes debido a restricciones de acceso, plantean un problema de fiabilidad. Por ejemplo, los informes del IPC de julio de 2025 mencionan 20,000 niños tratados por malnutrición aguda, pero estas cifras provienen en gran parte de hospitales bajo el control de Hamás. Esto contrasta con otros contextos donde el IPC exige datos contrastados y verificados.

Legalidad y legitimidad de la modificación: El IPC, aunque afiliado a la ONU, es un organismo técnico y no un ente decisorio sujeto a leyes internacionales estrictas. Por lo tanto, tiene la flexibilidad de ajustar sus métodos según los contextos, pero estos ajustes deben ser transparentes y científicamente justificados. Modificar los criterios únicamente para Gaza, sin precedentes en otras crisis (por ejemplo, Yemen o Sudán), plantea preguntas sobre la equidad y la neutralidad. Expertos citados en las fuentes denuncian una "reducción del estándar" que podría servir a agendas políticas, particularmente para aumentar la presión sobre Israel.

Instrumentalización humanitaria: En un contexto donde Hamás ejerce un control estricto sobre la información y la ayuda en Gaza, estas modificaciones metodológicas corren el riesgo de reforzar un relato antiisraelí. Al facilitar la declaración de una hambruna, el IPC podría alimentar acusaciones de "genocidio" o "crímenes de guerra" contra Israel, mientras oculta el papel de Hamás en la mala gestión de la ayuda. Esto se inscribe en una "guerra de imágenes" donde ambas partes buscan influir en la opinión pública.

La situación en Gaza es innegablemente grave, con informes de la OMS y el PMA que citan casos de malnutrición. Sin embargo, la cobertura mediática y los ajustes del IPC destacan fallas sistémicas en la gestión de la información en tiempos de conflicto:

Responsabilidad de los medios: La prensa internacional debe adoptar un enfoque más riguroso, verificando fuentes y contextualizando imágenes. Las acusaciones de Bild sobre montajes, aunque parcialmente refutadas (Web:1), subrayan la importancia de la transparencia y la precaución en la difusión de imágenes sensibles.

¡Imagen falsa, esperamos las disculpas de Libé!

Neutralidad de los organismos internacionales: La modificación de los criterios del IPC para Gaza, sin un precedente claro ni una justificación científica sólida, compromete la credibilidad de la ONU. Esto alimenta las acusaciones de "doble rasero" en el tratamiento de Israel en comparación con otros conflictos.

Manipulación por Hamás: El control estricto de imágenes y datos por parte de los terroristas de Hamás, combinado con la dependencia de los medios y del IPC de estas fuentes, ilustra una instrumentalización humanitaria. Los relatos de hambruna se amplifican para servir a objetivos políticos, en detrimento de un análisis objetivo de la crisis. La prensa cómplice cae en la trampa.

Si bien el hambre en Gaza es una realidad para algunos segmentos de la población, su magnitud a menudo es exagerada por imágenes manipuladas y datos sesgados. Los medios deben redoblar su vigilancia, y el IPC debería reevaluar sus métodos para garantizar una clasificación imparcial y científicamente fundamentada. La politización de la crisis humanitaria solo agrava la desconfianza y complica los esfuerzos para una ayuda efectiva.

La ONU, liderada por Antonio Guterres y Francesca Albanese, fervientemente pro-palestinos, debe darse cuenta de que la verdad eventualmente saldrá a la luz y no se puede comprar... como hace Qatar.


Hébreu

שגיאות העיתונות הבינלאומית מול טענות ל"רעב"

העיתונות הבינלאומית זוכה לעיתים קרובות לביקורת על טיפולה הסנסציוני והבלתי מאומת דיו במידע המגיע מעזה, במיוחד בנוגע לנושא ה"רעב". ניתן לזהות מספר שגיאות חוזרות:

חוסר אימות מקורות: בשל חוסר מקצועיות, אך בעיקר חוסר אתיקה, כלי תקשורת גדולים כמו The New York Times, CNN, BBC, Libération ו-Le Parisien הפיצו תמונות או עדויות מבלי לאמת את אמינותן או הקשרן.

הילד הזה שטופל בישראל סובל ממחלה גנטית... שוב זיוף!

לדוגמה, תמונות של ילדים כחושים שימשו להמחשת רעב נרחב לכאורה, כאשר חלק מהמקרים היו קשורים למחלות קיימות כמו שיתוק מוחי או הפרעות גנטיות, ללא קשר למחסור במזון. תמונות אלו, למרות היותן מזעזעות, לא תמיד משקפות מציאות מערכתית, אך הן משמשות בשל השפעתן הרגשית.

תלות במקורות מוטים: המידע המופץ מגיע לעיתים קרובות ממשרד הבריאות של עזה, שהוא לא אחר מאשר חמאס, או מארגונים לא ממשלתיים מקומיים הפועלים תחת שליטת חמאס. מקורות אלה לעיתים נדירות נבדקים מול נתונים עצמאיים, מה שמוביל להפצת נרטיבים חלקיים. לדוגמה, נתוני תת-תזונה או מקרי מוות המיוחסים לרעב אינם תמיד מאושרים על ידי משקיפים נייטרליים, והתקשורת לעיתים קרובות לא מציינת את תפקידו של חמאס בהסטת סיוע מזון.

כותרות, כמו אלה של The New York Times או Libération, מעדיפות תמונות דרמטיות כדי לעורר רגשות, לעיתים על חשבון הניואנסים. לדוגמה, תמונה שפורסמה על ידי Libération ב-24 ביולי 2025, המראה ילד כחוש, הואשמה בטעות כתמונה מתימן משנת 2016. תקרית זו ממחישה את חוסר האמון בתקשורת, המוזן משגיאות קודמות.

השמטת הקשר: התקשורת הבינלאומית לעיתים נדירות מציינת כי כמויות משמעותיות של סיוע מזון נכנסות לעזה (למשל, מעל 200 משאיות ביום לפי COGAT הישראלי באוגוסט 2025) או ששווקים מקומיים ממשיכים לתפקד באזורים מסוימים. הם גם משמיטים את תפקידו של חמאס במכירת סיוע הומניטרי במחירים מופקעים או השתלטותו על הסיוע למען לוחמיו, מה שמחריף את אי השוויון במזון.

שגיאות מכוונות אלו תורמות לנרטיב שמאשים בעיקר את ישראל בגרימת משבר הומניטרי, תוך מזעור אחריותו של חמאס בניהול הסיוע והמניפולציה על דעת הקהל.

דיווח של Bild המגנה הצגות מבוימות

העיתון הגרמני Bild, בשיתוף עם Süddeutsche Zeitung, פרסם חקירה באוגוסט 2025 שחשפה הצגות מבוימות בתמונות של "רעב" בעזה, במיוחד על ידי הצלם אנאס זייד פתיחה. להלן הנקודות המרכזיות וניתוח:

האשמות בבימוי: Bild טוען כי תמונות מסוימות, שהופצו בהרחבה על ידי כלי תקשורת כמו CNN, BBC או Reuters, המראות נשים וילדים עם סירים ריקים בתורים, היו מבוימות כדי להגזים בסבל. לדוגמה, תמונה מראה קהל ממתין לסיוע, אך תמונות אחרות מאותו אירוע מגלות כי מזון חולק זמן קצר לאחר מכן, מה שהתמונות הראשוניות משמיטות. זה מצביע על מניפולציה להגברת האפקט הדרמטי.

פרופיל הצלם: אנאס זייד פתיחה, שזוהה כפרילנסר לכאורה שעובד עבור סוכנות הידיעות הטורקית Anadolu, מואשם בהיותו פעיל פרו-חמאס שמפרסם תוכן אנטי-ישראלי ברשתות החברתיות. זה מעלה שאלות לגבי אובייקטיביותו.

עם זאת, המגזין Time דחה את ההאשמות בנוגע לאחת מעטיפותיו, וציין כי התמונה המדוברת, שצולמה ב-22 ביולי 2025, הייתה מעשה ידיו של צלם אחר, עלי ג'דאללה, והציגה חלוקת סיוע מזון אמיתית.

הקשר של שליטה תקשורתית: Bild ו-Süddeutsche Zeitung מדגישים כי חמאס שולט בקפדנות על ייצור התמונות בעזה, מגביל את הגישה של עיתונאים זרים ומעדיף צלמים מקומיים המזוהים עם מטרותיו. מצב זה מסבך את האימות העצמאי ומאפשר הפצת תמונות מוטות או מבוימות כדי להשפיע על דעת הקהל המערבית.

ביקורת על התקשורת הבינלאומית: החקירה של Bild מעלה שאלות לגבי אחריותם של כלי תקשורת גדולים שמפרסמים תמונות אלה ללא אימות קפדני. לדוגמה, Reuters הגנה על הסטנדרטים שלה לאובייקטיביות, אך סוכנויות אחרות, כמו AFP שלעיתים מוטה, הצהירו כי יבדקו את המקורות בקפידה רבה יותר לפני פרסום. זה מדגיש פגם בשיטות העיתונאיות בהקשרים של מלחמה שבהם הגישה למידע מוגבלת.

שינוי קריטריונים של ה-IPC להכרזת רעב בעזה

המידע לפיו ה-IPC (מסגרת סיווג משולבת לביטחון תזונתי) שינה את הקריטריונים להכרזת רעב עבור עזה בלבד מעלה שאלות לגבי הנייטרליות והקפדנות המדעית של ארגונים המסונפים לאו"ם. להלן ניתוח השינויים שהוזכרו והשלכותיהם:

הורדת סף תת-תזונה חריפה: הורדת הסף מ-30% ל-15% של ילדים הסובלים מתת-תזונה חריפה להכרזת רעב היא שינוי משמעותי. סף זה, שהיה מבוסס היסטורית על תקנים בינלאומיים שנקבעו למשברים כמו בסודן או בסומליה, מבטיח רמה מסוימת של קפדנות בסיווג. על ידי הורדתו, ה-IPC מקל על הכרזת רעב, מה שעשוי להגביר את תפיסת המשבר בעזה.

שינוי מתודולוגיה (MUAC לעומת משקל/גובה): מדידת היקף הזרוע (MUAC) היא מהירה ופרקטית יותר בהקשרי משבר, אך פחות מדויקת משיטת משקל/גובה, שהיא התקן הבינלאומי. המדריך הטכני של ה-IPC קובע כי MUAC אינו אמור להוות תחליף ישיר, שכן הוא עשוי להעריך יתר על המידה את התת-תזונה במקרים מסוימים. התאמה מתודולוגית זו, שיושמה רק בעזה, נראית כעוקפת את התקנים הרגילים, מה שמזין חשדות לפוליטיזציה.

נתונים לא מאומתים של חמאס: ה-IPC מסתמך על נתונים שמספקות הרשויות המקומיות, במקרה זה חמאס, השולט בעזה. נתונים אלה, שלעיתים קרובות אינם ניתנים לאימות על ידי מקורות עצמאיים עקב הגבלות גישה, מהווים בעיה של אמינות. לדוגמה, דוחות ה-IPC מיולי 2025 מזכירים 20,000 ילדים שטופלו בתת-תזונה חריפה, אך נתונים אלה מגיעים בעיקר מבתי חולים בשליטת חמאס. זו ניגוד למקרים אחרים שבהם ה-IPC דורש נתונים מאומתים ומוצלבים.

חוקיות ולגיטימיות של השינוי: ה-IPC, למרות היותו מסונף לאו"ם, הוא גוף טכני ולא גוף מקבל החלטות הכפוף לחוקים בינלאומיים מחמירים. לכן, יש לו הגמישות להתאים את שיטותיו בהתאם להקשרים, אך התאמות אלה חייבות להיות שקופות ומבוססות מדעית. שינוי הקריטריונים עבור עזה בלבד, ללא תקדים במשברים אחרים (למשל, תימן או סודן), מעלה שאלות לגבי הוגנות ונייטרליות. מומחים שצוטטו במקורות מגנים "הורדת הרף" שעשויה לשרת אג'נדות פוליטיות, במיוחד כדי להגביר את הלחץ על ישראל.

ניצול הומניטרי: בהקשר שבו חמאס מפעיל שליטה קפדנית על המידע והסיוע בעזה, שינויים מתודולוגיים אלה עלולים לחזק נרטיב אנטי-ישראלי. על ידי הקלת הכרזת רעב, ה-IPC עשוי להזין האשמות ב"רצח עם" או "פשעי מלחמה" נגד ישראל, תוך הסתרת תפקידו של חמאס בניהול לקוי של הסיוע. זה משתלב ב"מלחמת התמונות" שבה שני הצדדים מבקשים להשפיע על דעת הקהל.

המצב בעזה הוא ללא ספק חמור, עם דיווחים של ארגון הבריאות העולמי ותוכנית המזון העולמית המציינים מקרים של תת-תזונה. עם זאת, הסיקור התקשורתי והתאמות ה-IPC מדגישות כשלים מערכתיים בניהול המידע בזמן סכסוך:

אחריות התקשורת: העיתונות הבינלאומית חייבת לאמץ גישה קפדנית יותר, תוך אימות מקורות ומתן הקשר לתמונות. ההאשמות של Bild על הצגות מבוימות, למרות שהוכחשו בחלקן (Web:1), מדגישות את החשיבות של שקיפות וזהירות בהפצת תמונות רגישות.

תמונה מזויפת, אנחנו ממתינים להתנצלות של Libé!

נייטרליות של ארגונים בינלאומיים: שינוי הקריטריונים של ה-IPC עבור עזה, ללא תקדים ברור או הצדקה מדעית חזקה, פוגע באמינות האו"ם. זה מזין האשמות ב"סטנדרטים כפולים" בטיפול בישראל בהשוואה לסכסוכים אחרים.

מניפולציה של חמאס: השליטה הקפדנית על תמונות ונתונים על ידי מחבלי חמאס, בשילוב עם התלות של התקשורת וה-IPC במקורות אלה, ממחישה ניצול הומניטרי. נרטיבי הרעב מוגברים כדי לשרת מטרות פוליטיות, על חשבון ניתוח אובייקטיבי של המשבר. העיתונות השותפה נופלת בפח.

בעוד שהרעב בעזה הוא מציאות עבור חלקים מסוימים של האוכלוסייה, היקפו מוגזם לעיתים קרובות על ידי תמונות מניפולטיביות ונתונים מוטים. התקשורת חייבת להכפיל את ערנותה, וה-IPC צריך לשקול מחדש את שיטותיו כדי להבטיח סיווג חסר פניות ומבוסס מדעית. הפוליטיזציה של המשבר ההומניטרי רק מחריפה את חוסר האמון ומסבכת את המאמצים לסיוע יעיל.

האו"ם, בראשות אנטוניו גוטרש ופרנצ'סקה אלבנזה, התומכים הנלהבים של הפלסטינים, חייבים להבין שהאמת בסופו של דבר תצא לאור ולא ניתן לקנות אותה... כפי שעושה קטאר.


La Croix Rouge est un problème ! (FR, EN, ES, HE) JBCH N° 224

Tous les ans, en Juin, aux feux rouges, la Croix Rouge organise des collectes avec des tirelires.
J’estime, après l’avoir étudié que son rôle passif pendant la période nazie à été néfaste. Cette même position  perdure, elle est devenue catastrophique face aux terroristes du Hamas. Car depuis deux ans il n'y a eu ni visites aux kidnappés, ni remise de médicaments ... seulement un rôle de chauffeur de taxi à Gaza ! 


La Croix-Rouge est donc devenue un problème sans apporter de solution.





Origines et missions officielles du CICR



Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a été créé en 1863 à l’initiative de l’homme d’affaires genevois Henri Dunant, bouleversé par les souffrances des blessés de la bataille de Solferino (1859).

 

L’idée fondatrice était de constituer une organisation neutre, indépendante, capable d’apporter des soins aux victimes de conflits armés, quelle que soit leur nationalité ou leur camp.

 


Cette initiative a conduit à la première Convention de Genève (1864), qui a codifié des principes humanitaires universels : Neutralité : ne pas prendre parti dans les hostilités. Impartialité : aider selon les besoins, sans discrimination. Indépendance : agir sans se soumettre à une pression politique ou militaire.



Durant ses premières décennies, le CICR a obtenu des succès indéniables : amélioration des soins aux blessés, reconnaissance des hôpitaux et ambulances comme zones protégées, création de registres de prisonniers de guerre, rôle actif dans le développement du droit international humanitaire.



Seconde Guerre mondiale et passivité face aux crimes de masse




Pendant la Seconde Guerre mondiale, le CICR a apporté une aide substantielle à des millions de prisonniers de guerre, en assurant l’acheminement de colis, la correspondance et la surveillance des conditions de détention dans de nombreux camps militaires. Ce rôle fut salué. 

 

Mais malheureusement,  son attitude face à la Shoah et aux persécutions contre les Juifs reste l’un des épisodes les plus critiqués de son histoire. Le CICR, au nom de la neutralité, s’est refusé à condamner publiquement les déportations et les massacres.

 

Il n' a pas ou très peu demandé à inspecter les camps d’extermination, et, lorsqu’il l’a fait (comme à Theresienstadt), il a accepté des visites mises en scène par les nazis, ce qui a contribué à la propagande allemande. Des voix internes, notamment celle de Marcel Junod ou de certains délégués sur le terrain, demandaient une action plus ferme.

 

Mais la direction, craignant de perdre l’accès aux prisonniers de guerre allemands et de se voir expulsée des territoires contrôlés par l’Axe, a privilégié la lâcheté, sous prétexte de prudence diplomatique.



Ce choix stratégique, s’il a permis au CICR de continuer certaines missions humanitaires, est aujourd’hui largement considéré comme une totale faillite morale, que l'Histoire marquera à jamais dans ses livres.

 

En d’autres termes, l’organisation a sauvé des vies, mais n’a pas tenté de sauver celles qui étaient promises à une extermination planifiée.





7 octobre 2023 et accusations contemporaines



Le 7 octobre 2023, une attaque  du Hamas, (des hommes assoiffés de sang),  contre Israël a provoqué le massacre de plus de 1300  civils et l’enlèvement de plus de deux cent cinquante personnes — femmes, bébés, enfants, personnes âgées, travailleurs étrangers.

 

Les familles des otages et le gouvernement israélien ont immédiatement demandé au CICR de jouer un rôle actif pour obtenir un accès aux captifs et garantir leur traitement humain, conformément aux Conventions de Genève.


La réponse du CICR a été perçue comme timorée, voire inexistante. L’organisation a affirmé qu’elle ne pouvait agir qu’avec l’accord des parties et qu’elle n’avait pas de pouvoir coercitif sur le Hamas. Ce qui semble être faux.

 


En pratique, elle s’est retrouvée cantonnée à un tout petit rôle logistique lors de certaines libérations négociées par d’autres intermédiaires (Qatar, Égypte, États-Unis), se limitant à transporter les otages civils  jusqu’en Israël.


Les critiques ont été sévères : Des responsables israéliens et des ONG ont accusé le CICR d’être passif face à une violation flagrante du droit humanitaire, en ne dénonçant pas plus fermement la privation d’accès aux otages et la séquestration.

 

Des familles d’otages ont parlé de « chauffeurs complaisants », soulignant que l’organisation avait agi uniquement en bout de chaîne, sans exercer de pression publique ni médiatique sur le Hamas.



Mais cette position nourrit l’idée que sous prétexte de neutralité, le CICR perd toute sa légitimité morale.



De Solferino à Gaza, l’histoire du CICR est marqué par ce qu’il est. à resté silencieux, passif, ou inactif face aux pires crimes. 


Cela pose une question de fond : une organisation humanitaire faillit-elle  lorsque le silence la rend complice de l’horreur ? Je ne ferai jamais de don à cet organisme d'origine suisse qui ne remplit pas sa mission, et qui commet  des compromissions criminelles.


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un  scientifique, ni un historien, ni un professionnel ... 

C'est délicat de témoigner quand on vit à Paris, loin des scènes politiques,

les photos et films sont prises sur le web, là aussi pour une utilisation personnelle et strictement privée


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🇬🇧 Anglais


Every year, in June, at traffic lights, the Red Cross organizes collections with donation boxes.


I believe, after having studied it, that its passive role during the Nazi period was harmful. This same position has continued and has become disastrous in the face of Hamas terrorists. For two years now, there have been no visits to the kidnapped, no delivery of medicines… only a taxi driver role in Gaza!


The Red Cross has therefore become a problem without offering any solution.


Origins and Official Missions of the ICRC


The International Committee of the Red Cross (ICRC) was founded in 1863 at the initiative of Geneva businessman Henri Dunant, moved by the suffering of the wounded at the Battle of Solferino (1859).


The founding idea was to create a neutral, independent organization capable of providing care to victims of armed conflicts, regardless of their nationality or side.


This initiative led to the first Geneva Convention (1864), which codified universal humanitarian principles:

  • Neutrality: not taking sides in hostilities.

  • Impartiality: helping according to needs, without discrimination.

  • Independence: acting without submitting to political or military pressure.


During its first decades, the ICRC achieved undeniable successes: improving care for the wounded, recognition of hospitals and ambulances as protected zones, creation of prisoner-of-war registers, and an active role in the development of international humanitarian law.


World War II and Passivity in the Face of Mass Crimes


During World War II, the ICRC provided substantial aid to millions of prisoners of war, delivering parcels, enabling correspondence, and monitoring detention conditions in numerous military camps. This role was praised.


But unfortunately, its attitude toward the Holocaust and the persecution of Jews remains one of the most criticized episodes in its history. In the name of neutrality, the ICRC refused to publicly condemn deportations and massacres.


It did not, or only very rarely, request to inspect extermination camps, and when it did (as in Theresienstadt), it accepted visits staged by the Nazis, which contributed to German propaganda. Internal voices, notably that of Marcel Junod and some field delegates, called for firmer action.


However, the leadership, fearing it would lose access to German prisoners of war and be expelled from Axis-controlled territories, chose cowardice under the pretext of diplomatic prudence.


This strategic choice, while allowing the ICRC to continue certain humanitarian missions, is now widely regarded as a total moral failure that history will forever record.


In other words, the organization saved lives, but made no attempt to save those destined for planned extermination.


October 7, 2023, and Contemporary Accusations


On October 7, 2023, a Hamas attack — by men thirsty for blood — against Israel caused the massacre of more than 1,300 civilians and the kidnapping of over 250 people — women, babies, children, the elderly, and foreign workers.


The families of the hostages and the Israeli government immediately called on the ICRC to play an active role in securing access to the captives and ensuring their humane treatment, in accordance with the Geneva Conventions.


The ICRC’s response was perceived as timid, even non-existent. The organization claimed it could act only with the agreement of the parties and that it had no coercive power over Hamas — a claim that appears false.


In practice, it was confined to a very small logistical role in certain releases negotiated by other intermediaries (Qatar, Egypt, United States), limiting itself to transporting civilian hostages to Israel.


Criticism was severe: Israeli officials and NGOs accused the ICRC of passivity in the face of a flagrant violation of humanitarian law, for not more firmly denouncing the deprivation of access to hostages and their sequestration.


Families of hostages spoke of “complacent drivers,” noting that the organization acted only at the very end of the process, without applying public or media pressure on Hamas.


This position fuels the idea that, under the pretext of neutrality, the ICRC loses all moral legitimacy.


From Solferino to Gaza, the history of the ICRC is marked by silence, passivity, or inaction in the face of the worst crimes.


This raises a fundamental question: does a humanitarian organization fail when its silence makes it complicit in horror? I will never donate to this Swiss-born organization that fails to fulfill its mission and commits criminal compromises.


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🇪🇸 Español


Cada año, en junio, en los semáforos, la Cruz Roja organiza colectas con huchas.


Considero, después de estudiarlo, que su papel pasivo durante el período nazi fue perjudicial. Esta misma postura ha perdurado y se ha vuelto catastrófica frente a los terroristas de Hamás. Desde hace dos años no ha habido visitas a los secuestrados, ni entrega de medicamentos… ¡solo un papel de chófer en Gaza!


La Cruz Roja se ha convertido así en un problema sin aportar ninguna solución.


Orígenes y misiones oficiales del CICR


El Comité Internacional de la Cruz Roja (CICR) fue creado en 1863 por iniciativa del empresario ginebrino Henri Dunant, conmovido por el sufrimiento de los heridos en la batalla de Solferino (1859).


La idea fundadora era constituir una organización neutral e independiente, capaz de proporcionar atención a las víctimas de conflictos armados, independientemente de su nacionalidad o bando.


Esta iniciativa llevó a la primera Convención de Ginebra (1864), que codificó principios humanitarios universales:

  • Neutralidad: no tomar partido en las hostilidades.

  • Imparcialidad: ayudar según las necesidades, sin discriminación.

  • Independencia: actuar sin someterse a presiones políticas o militares.


Durante sus primeras décadas, el CICR obtuvo éxitos indiscutibles: mejorar la atención a los heridos, el reconocimiento de hospitales y ambulancias como zonas protegidas, la creación de registros de prisioneros de guerra y un papel activo en el desarrollo del derecho internacional humanitario.


Segunda Guerra Mundial y pasividad ante crímenes masivos


Durante la Segunda Guerra Mundial, el CICR brindó ayuda sustancial a millones de prisioneros de guerra, asegurando el envío de paquetes, la correspondencia y la supervisión de las condiciones de detención en numerosos campos militares. Este papel fue elogiado.


Pero, lamentablemente, su actitud ante el Holocausto y las persecuciones contra los judíos sigue siendo uno de los episodios más criticados de su historia. En nombre de la neutralidad, el CICR se negó a condenar públicamente las deportaciones y las masacres.


No solicitó, o lo hizo muy pocas veces, inspeccionar los campos de exterminio, y cuando lo hizo (como en Theresienstadt), aceptó visitas organizadas por los nazis, lo que contribuyó a la propaganda alemana. Voces internas, como la de Marcel Junod o algunos delegados sobre el terreno, reclamaban una acción más firme.


La dirección, temiendo perder el acceso a los prisioneros de guerra alemanes y ser expulsada de los territorios controlados por el Eje, optó por la cobardía bajo el pretexto de prudencia diplomática.


Esta elección estratégica, aunque permitió al CICR continuar algunas misiones humanitarias, hoy se considera un fracaso moral total que la Historia recordará para siempre.


En otras palabras, la organización salvó vidas, pero no intentó salvar a aquellas condenadas a una exterminación planificada.


7 de octubre de 2023 y acusaciones contemporáneas


El 7 de octubre de 2023, un ataque de Hamás — hombres sedientos de sangre — contra Israel provocó la masacre de más de 1.300 civiles y el secuestro de más de 250 personas — mujeres, bebés, niños, ancianos, trabajadores extranjeros.


Las familias de los rehenes y el gobierno israelí pidieron inmediatamente al CICR que desempeñara un papel activo para obtener acceso a los cautivos y garantizar su trato humano, de conformidad con las Convenciones de Ginebra.


La respuesta del CICR fue percibida como tímida o inexistente. La organización afirmó que solo podía actuar con el acuerdo de las partes y que no tenía poder coercitivo sobre Hamás — afirmación que parece falsa.


En la práctica, se limitó a un pequeño papel logístico en algunas liberaciones negociadas por otros intermediarios (Catar, Egipto, Estados Unidos), restringiéndose a transportar a los rehenes civiles hasta Israel.


Las críticas fueron severas: responsables israelíes y ONG acusaron al CICR de pasividad ante una violación flagrante del derecho humanitario, por no denunciar con más firmeza la privación de acceso a los rehenes y su secuestro.


Familias de rehenes hablaron de “conductores complacientes”, subrayando que la organización actuó únicamente al final del proceso, sin ejercer presión pública o mediática sobre Hamás.


Esta posición alimenta la idea de que, con el pretexto de la neutralidad, el CICR pierde toda legitimidad moral.


De Solferino a Gaza, la historia del CICR está marcada por el silencio, la pasividad o la inacción frente a los peores crímenes.


Esto plantea una cuestión de fondo: ¿fracasa una organización humanitaria cuando su silencio la hace cómplice del horror? Jamás donaré a esta organización de origen suizo que no cumple su misión y comete compromisos criminales.


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🇮🇱 עברית


בכל שנה, ביוני, ברמזורים, הצלב האדום מארגן מגביות עם קופות תרומה.


אני סבור, לאחר שבחנתי זאת, שתפקידו הפסיבי בתקופת הנאצים היה מזיק. אותה עמדה נמשכת והפכה לאסון מול מחבלי חמאס. במשך שנתיים לא בוצעו ביקורים אצל החטופים, לא סופקו תרופות… רק תפקיד של “נהג מונית” בעזה!


הצלב האדום הפך אפוא לבעיה שאינה מספקת פתרון.


מקור ומשימות רשמיות של הוועד הבינלאומי של הצלב האדום


הוועד הבינלאומי של הצלב האדום (ICRC) נוסד בשנת 1863 ביוזמת איש העסקים מג’נבה אנרי דינן, שנחרד מסבלם של הפצועים בקרב סולפרינו (1859).


הרעיון המייסד היה להקים ארגון נייטרלי, עצמאי, המסוגל להעניק טיפול לנפגעי סכסוכים מזוינים, ללא קשר לאזרחותם או למחנה אליו הם שייכים.


יוזמה זו הובילה לאמנת ז’נבה הראשונה (1864), שקיבעה עקרונות הומניטריים אוניברסליים:

  • נייטרליות: לא לנקוט צד בעימותים.

  • אי־הפליה: סיוע בהתאם לצורך, ללא אפליה.

  • עצמאות: פעולה ללא כניעה ללחצים פוליטיים או צבאיים.


במהלך עשרות שנותיו הראשונות, הוועד רשם הישגים ברורים: שיפור הטיפול בפצועים, הכרה בבתי חולים ואמבולנסים כאזורים מוגנים, הקמת רישומים לשבויי מלחמה ותפקיד פעיל בפיתוח המשפט ההומניטרי הבינלאומי.


מלחמת העולם השנייה והפסיביות מול פשעי המונים


במלחמת העולם השנייה סיפק הוועד סיוע משמעותי למיליוני שבויי מלחמה, באמצעות משלוח חבילות, מכתבים ופיקוח על תנאי הכליאה במחנות צבאיים רבים. תפקיד זה זכה לשבחים.


אך למרבה הצער, עמדתו כלפי השואה והרדיפות נגד היהודים נותרה אחד הפרקים המבוקרים ביותר בתולדותיו. בשם הנייטרליות, הוועד סירב לגנות בפומבי את הגירושים והטבחים.


הוא לא ביקש, או ביקש לעיתים רחוקות מאוד, לבקר במחנות ההשמדה, וכשעשה זאת (כמו בתרזיינשטט), קיבל סיורים מבוימים על ידי הנאצים — ובכך תרם לתעמולה הגרמנית. קולות פנימיים, כמו מרסל ז’ונו ומספר נציגים בשטח, דרשו פעולה תקיפה יותר.


ההנהלה, שחששה לאבד את הגישה לשבויי המלחמה הגרמנים ולהיות מגורשת משטחי הציר, בחרה בפחדנות במסווה של זהירות דיפלומטית.


בחירה אסטרטגית זו, אף שאפשרה לוועד להמשיך במספר משימות הומניטריות, נחשבת כיום לכישלון מוסרי מוחלט שייזכר לעד בהיסטוריה.


במילים אחרות, הארגון הציל חיים — אך לא ניסה להציל את אלה שיועדו להשמדה מתוכננת.


7 באוקטובר 2023 והאשמות בימינו


ב־7 באוקטובר 2023, מתקפת חמאס — אנשים צמאי דם — נגד ישראל גרמה לטבח של למעלה מ־1,300 אזרחים ולחטיפת יותר מ־250 בני אדם — נשים, תינוקות, ילדים, קשישים ועובדים זרים.


משפחות החטופים והממשלה הישראלית פנו מיד לוועד בבקשה למלא תפקיד פעיל כדי לאפשר גישה לחטופים ולהבטיח את הטיפול ההומני בהם, בהתאם לאמנות ז’נבה.


תגובת הוועד נתפסה כמהוססת, ואף כלא קיימת. הארגון טען כי הוא יכול לפעול רק בהסכמת הצדדים וכי אין לו סמכות כפייה על חמאס — טענה שנראית שקרית.


בפועל, הוא הוגבל לתפקיד לוגיסטי קטן במספר שחרורים שנסגרו על ידי מתווכים אחרים (קטאר, מצרים, ארה”ב), כשהוא מסתפק בהעברת החטופים האזרחים לישראל.


הביקורות היו חריפות: גורמים ישראליים וארגוני NGO האשימו את הוועד בפסיביות מול הפרה בוטה של המשפט ההומניטרי, על כך שלא גינה בתקיפות רבה יותר את מניעת הגישה לחטופים ואת כליאתם.


משפחות חטופים דיברו על “נהגים נוחים”, וציינו כי הארגון פעל רק בשלב האחרון של התהליך, ללא הפעלת לחץ ציבורי או תקשורתי על חמאס.


עמדה זו מחזקת את התפיסה כי בשם הנייטרליות, הוועד מאבד את כל הלגיטימציה המוסרית שלו.


מִסולפרינו ועד עזה, תולדות הוועד הבינלאומי של הצלב האדום מתאפיינות בשתיקה, בפסיביות או באי־פעולה מול הפשעים החמורים ביותר.


שאלה יסודית עולה מכך: האם ארגון הומניטרי נכשל כאשר שתיקתו הופכת אותו לשותף לאימה? לעולם לא אתרום לארגון שמקורו בשווייץ, שאינו ממלא את שליחותו ומבצע פשרות פליליות.