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mercredi 27 août 2025

Position stratégique : Le Mont Hermon. (FR). JBCH N° 303

Sources du Joudain 


Nous nous sommes baignés à Banias, sous la cascade, un régal, je m'y étais rendu en 1975, et nous avons visité les hauteurs du Golan et observé de loin le majestueux Mont Hermon, cette position stratégique unique tombée aux mains d'Israël et conquise par son armée après l'attaque de la Syrie sur Israël


Une position stratégique inamovible


Le contrôle israélien sur le Mont Hermon, point culminant de la région du Golan, représente bien plus qu’une simple question de sécurité nationale. 


Depuis la chute du régime de Bachar el-Assad en décembre 2024, l’armée israélienne (IDF) a consolidé sa présence sur ce sommet, considéré comme « les yeux d’Israël » pour sa capacité unique de surveillance de la Syrie, du Liban et même d’une partie de l’Irak.




Le ministre de la Défense, Israel Katz, a réaffirmé la nécessité de rester sur cette position stratégique, rappelant que les attaques du 7 octobre avaient démontré les conséquences tragiques d’un manque de préparation. Le sommet permet non seulement de protéger les implantations israéliennes du Golan mais également de prévenir toute infiltration djihadiste ou offensive syrienne.




Officiellement annexés en 1981, les hauteurs du Golan est reconnu par les USA comme territoire israélien,  depuis 2019. Pour Damas, l’opération de décembre 2024 constitue une violation flagrante de sa souveraineté. Les accusations syriennes évoquent l’envoi de 60 soldats israéliens et de 11 véhicules militaires dans la zone de Beit Jinn, à la lisière de Damas.




Cette expansion sécuritaire inquiète autant qu’elle fascine : Israël joue habilement entre diplomatie et faits accomplis, négociant parallèlement avec Washington des « arrangements de sécurité » tout en renforçant sa présence militaire.

Une montagne de contradictions : sport, tourisme et armée




Si le Mont Hermon est avant tout une position militaire stratégique, il est également devenu une destination touristique unique, avec ses stations de ski, ses remontées mécaniques et ses paysages enneigés. Ce paradoxe — entre conflit permanent et loisirs — illustre la capacité israélienne à transformer une zone militarisée en vitrine économique.

Impact géopolitique et risques futurs


L’annexion de facto du Mont Hermon marque un tournant dans la politique sécuritaire israélienne. En contrôlant ce sommet, Israël bénéficie :

  1. D’un avantage militaire : surveillance radar avancée, prévention des incursions et observation de la région de Damas.

  2. D’un levier diplomatique : poids accru dans les négociations avec Washington et les puissances régionales.

  3. D’une dynamique économique : développement du tourisme alpin malgré la tension permanente.



Mais cette stratégie comporte des risques : provoquer une escalade avec Damas, fragiliser les pourparlers de désescalade et susciter une contestation accrue de la part des européens, de la Turquie et de l’Iran, 




Le Mont Hermon n’est pas qu’un sommet enneigé : il est devenu un symbole. Symbole de puissance, de résilience et de la détermination israélienne à sécuriser ses frontières dans un Proche-Orient instable. 


Toutefois, cette présence prolongée risque de cristalliser tensions diplomatiques et pressions internationales, à moins qu’Israël ne parvienne à transformer sa position stratégique en facteur de stabilisation régionale plutôt qu’en nouvelle source de conflit. 

Mais les miracles, Israël en a l'habitude.







© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

C'est  délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog j'exprime en général un coup de coeur 

d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale 

les photos et films sont prises sur le web, là aussi pour une utilisation strictement personnelle 

La fantastique réussite de l'Economie d'Israël (FR, EN, ES). JBCH N° 302

J'aime lire le Jérusalem Post, il me donne toujours une vue positive de l'actualité. On a besoin de respirer, les journaux comme le Monde ou Haaretz vous donnent la nausée , s'ils sont de qualité, les informations exposées sont tendancieuses et la rigueur dans le choix des sources n'est jamais présente.



Une Économie resplendissante  L’article souligne que l’économie israélienne, particulièrement son secteur technologique et militaire, a atteint une maturité exceptionnelle en pleine période de conflit. 


Des milliers de nouvelles sociétés


Forgée « dans le creuset d’une guerre multi-fronts », cette expérience a permis à Israël de tester, améliorer et exporter des systèmes d’armement, d’intelligence artificielle et de cybersécurité parmi les plus performants au monde. 


Ce savoir-faire, unique et reconnu, est déjà en train d’attirer une demande mondiale en pleine explosion, dans un contexte où de nombreux pays se réarment face à l’instabilité géopolitique.


Tel Aviv 


Israël a un atout stratégique sans précédent : la possibilité de rediriger ses innovations vers des applications civiles et de diversifier ses marchés. L’expérience de guerre, douloureuse mais riche en enseignements technologiques, deviendra un moteur pour :

  • l’intelligence artificielle appliquée à la santé, l’agriculture et la mobilité ;

  • les systèmes autonomes et robotiques pour l’industrie ;

  • la cybersécurité pour protéger infrastructures, données et transactions financières ;

  • les nanotechnologies et les énergies propres pour répondre aux défis mondiaux.




Ces innovations pourront être développées dans un cadre plus serein, favorisant des investissements massifs de capitaux étrangers. Tel Aviv, Haïfa et Beer-Sheva pourraient devenir les trois pôles d’une Silicon Valley israélienne réinventée, ouverte à des partenariats avec l’Asie, l’Europe et l’Amérique du Nord.




Un Leadership Global dans un Monde Instable, et l’avenir du monde qui sera marqué par l’incertitude, la montée des tensions régionales et la nécessité de prévenir les conflits.


 Israël, fort de son expérience, peut offrir non seulement des technologies de défense, mais également un modèle de résilience économique et d’innovation rapide en conditions extrêmes


A ce jour les carnets de commande sont remplis pour des années, malgré le blocage et la jalousie maladive de pays comme la France, l'Espagne ou l'Irlande en Europe. Des contrats de plusieurs milliards de US $ ont déjà été signés avec l'Allemagne, la Roumanie et la Serbie. 


On peut observer des ventes mirobolantes à des pays comme l'Inde, et de nombreux accords avec la Corée du Sud, sans compter sur la Chine qui a installé chez elle une Université "Technion", avec des professeurs venus de Haïfa et des USA;  la Chine qui a installé des milliers de mètre-carrés de bureaux de recherche à Hertzliya.  L'excellence est là aussi de mise!


Cette expertise sera exportée vers des marchés en quête de solutions robustes pour des environnements complexes, après des décennies de guerres, sera également l’occasion pour Israël d’envoyer un signal fort : son savoir-faire, forgé dans la douleur, servira désormais à sauver des vies, améliorer les conditions humaines et stabiliser la région. 


La première dans le temps : Teva créé en 1901 à Jérusalem, N° mondial des génériques


Cette mutation de l’économie de guerre vers l’économie de paix donnera un sens moral et historique à la trajectoire du pays, renforçant sa légitimité et son prestige international.


Israël n'est pas seulement un pays prospère ; il devient un acteur incontournable de l’économie mondiale, un laboratoire de technologies avancées et un modèle d’adaptation stratégique. On assiste au  début d’un nouvel âge d’or pour l’innovation israélienne, fondé sur la créativité, la résilience et la vision.


Analyse d'un article paru ce jour dans le Jérusalem Post , 27 Aôut 2025





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Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

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English Translation

I love reading the Jerusalem Post; it always gives me a positive view of current events. We need to breathe; newspapers like Le Monde or Haaretz make you feel nauseous. Even if they are high-quality, the information they present is biased, and rigor in the selection of sources is never present.

A Thriving Economy

The article highlights that the Israeli economy, particularly its technological and military sectors, has reached exceptional maturity in the midst of conflict.

Forged “in the crucible of a multi-front war,” this experience has enabled Israel to test, improve, and export some of the most advanced weapons systems, artificial intelligence, and cybersecurity technologies in the world.

This unique and recognized expertise is already attracting booming global demand, as many countries rearm themselves in the face of geopolitical instability.

Israel holds an unprecedented strategic advantage: the ability to redirect its innovations toward civilian applications and diversify its markets. The painful yet technologically enriching wartime experience will drive advancements in:

  • Artificial intelligence applied to healthcare, agriculture, and mobility;

  • Autonomous and robotic systems for industry;

  • Cybersecurity to protect infrastructure, data, and financial transactions;

  • Nanotechnology and clean energy to address global challenges.


These innovations will be developed in a more stable environment, encouraging massive foreign capital investments. Tel Aviv, Haifa, and Beersheba could become the three pillars of a reinvented Israeli Silicon Valley, open to partnerships with Asia, Europe, and North America.

Global Leadership in an Unstable World

In a future marked by uncertainty, rising regional tensions, and the need to prevent conflicts, Israel, drawing on its experience, can offer not only defense technologies but also a model of economic resilience and rapid innovation under extreme conditions.

As of today, order books are filled for years, despite the blockade and unhealthy jealousy of countries such as France, Spain, or Ireland in Europe. Multi-billion-dollar contracts have already been signed with Germany, Romania, and Serbia.

There are staggering sales to countries like India and numerous agreements with South Korea, not to mention China, which has established a “Technion University” on its soil, with professors from Haifa and the USA. China has also opened thousands of square meters of research offices in Herzliya. Excellence reigns there as well.

This expertise will be exported to markets seeking robust solutions for complex environments. After decades of wars, it will also allow Israel to send a strong signal: its know-how, forged in hardship, will now serve to save lives, improve human conditions, and stabilize the region.

This transition from a wartime economy to a peacetime economy will give moral and historical meaning to the country’s trajectory, reinforcing its legitimacy and international prestige.

Israel is not only a prosperous country; it is becoming a key player in the global economy, a laboratory of advanced technologies, and a model of strategic adaptation. We are witnessing the beginning of a new golden age for Israeli innovation, built on creativity, resilience, and vision.


Analysis of an article published today in the Jerusalem Post, August 27, 2025


Español


Me encanta leer el Jerusalem Post; siempre me da una visión positiva de la actualidad. Necesitamos respirar; periódicos como Le Monde o Haaretz provocan náuseas. Aunque sean de calidad, la información que presentan es tendenciosa y la rigurosidad en la selección de fuentes nunca está presente.

Una Economía Resplandeciente

El artículo destaca que la economía israelí, particularmente su sector tecnológico y militar, ha alcanzado una madurez excepcional en plena época de conflicto.

Miles de Nuevas Empresas

Forjada “en el crisol de una guerra multifrontal”, esta experiencia ha permitido a Israel probar, mejorar y exportar algunos de los sistemas de armamento, inteligencia artificial y ciberseguridad más avanzados del mundo.

Este conocimiento único y reconocido ya está atrayendo una demanda global en plena expansión, en un contexto donde muchos países se rear man ante la inestabilidad geopolítica.

Israel tiene una ventaja estratégica sin precedentes: la capacidad de redirigir sus innovaciones hacia aplicaciones civiles y diversificar sus mercados. La experiencia bélica, dolorosa pero rica en enseñanzas tecnológicas, impulsará avances en:

  • Inteligencia artificial aplicada a la salud, la agricultura y la movilidad;

  • Sistemas autónomos y robóticos para la industria;

  • Ciberseguridad para proteger infraestructuras, datos y transacciones financieras;

  • Nanotecnologías y energías limpias para afrontar los retos mundiales.


Estas innovaciones podrán desarrollarse en un entorno más estable, fomentando inversiones masivas de capital extranjero. Tel Aviv, Haifa y Beersheva podrían convertirse en los tres polos de un Silicon Valley israelí reinventado, abierto a asociaciones con Asia, Europa y América del Norte.

Un Liderazgo Global en un Mundo Inestable

En un futuro marcado por la incertidumbre, el aumento de las tensiones regionales y la necesidad de prevenir conflictos, Israel, gracias a su experiencia, puede ofrecer no solo tecnologías de defensa, sino también un modelo de resiliencia económica e innovación rápida en condiciones extremas.

A día de hoy, las carteras de pedidos están llenas para años, a pesar del bloqueo y la malsana envidia de países como Francia, España o Irlanda en Europa. Ya se han firmado contratos multimillonarios con Alemania, Rumanía y Serbia.

Se observan ventas impresionantes a países como India y numerosos acuerdos con Corea del Sur, sin mencionar a China, que ha establecido en su territorio una “Universidad Technion”, con profesores procedentes de Haifa y de Estados Unidos. China también ha abierto miles de metros cuadrados de oficinas de investigación en Herzliya. ¿La excelencia también se aplica allí?

Esta experiencia se exportará a mercados que buscan soluciones sólidas para entornos complejos. Tras décadas de guerras, también será la oportunidad para que Israel envíe una señal fuerte: su saber hacer, forjado en el sufrimiento, servirá ahora para salvar vidas, mejorar las condiciones humanas y estabilizar la región.

Esta transición de la economía de guerra a la economía de paz dará un sentido moral e histórico a la trayectoria del país, reforzando su legitimidad y su prestigio internacional.

Israel no es solo un país próspero; se está convirtiendo en un actor clave de la economía mundial, un laboratorio de tecnologías avanzadas y un modelo de adaptación estratégica. Estamos asistiendo al inicio de una nueva edad de oro para la innovación israelí, basada en la creatividad, la resiliencia y la visión.


Análisis de un artículo publicado hoy en el Jerusalem Post, 27 de agosto de 2025

mardi 26 août 2025

Il y a 3000 ans les juifs créaient déjà des "start up" ! (FR, EN, ES). JBCH N° 301

Des preuves, des preuves ... il leur faut toujours des preuves ... Eh bien en voilà de nouvelles !!  en Galilée des métallurgistes de haut niveau : les premiers hébreux, Times of Israël publie cette aventure historique décrite dans "Plos One".


Découverte archéologique majeure à el-Ahwat révélant la production de bronze par les anciens Israélites


Des archéologues de l’Université de Haïfa ont mis au jour la plus ancienne preuve de production de bronze dans le Levant sud, à el-Ahwat, un site situé à 20 kilomètres à l’est de Césarée, datant d’environ 3 000 ans. 





Publiée dans la revue PLOS ONE, cette découverte suggère des compétences métallurgiques avancées et des réseaux commerciaux, potentiellement liés au royaume israélite naissant durant la Monarchie unie de David et Salomon (fin du XIe – début du Xe siècle av. J.-C.).


L’analyse microscopique et chimique des résidus de fusion a confirmé une production de bronze sur place à l’âge du fer ancien (XIIe-Xe siècle av. J.-C.), avec du cuivre provenant des mines de Timna et Faynan dans le désert d’Arava


Cette découverte remet en question l’idée selon laquelle les premiers Israélites avaient des compétences métallurgiques limitées, révélant une société sophistiquée capable de produire du bronze à partir de zéro, et non de simplement le recycler. Dr Tzilla Eshel, co-auteure de l’étude, a souligné l’importance de la découverte : « Cela ouvre un tout nouveau monde. »


Ces résultats alimentent le débat sur l’existence de la Monarchie unie, certains chercheurs soutenant qu’il s’agissait d’un royaume puissant, tandis que d’autres y voient un simple chef-lieu modeste. 





La position stratégique d’el-Ahwat, le long d’une route commerciale près des montagnes du Carmel, en fait un centre probable pour mélanger l’étain importé au cuivre local, suggérant une entité politique organisée, peut-être les premiers Israélites.


Auparavant, el-Ahwat avait suscité des controverses en raison des théories de l’archéologue Adam Zertal, qui associait ses fortifications du XIIIe siècle av. J.-C. aux structures nuragiques de Sardaigne et aux « Peuples de la mer ». 


Les fouilles actuelles, menées par Eshel et Dr Shay Bar, rejettent cette hypothèse, n’ayant trouvé aucune céramique sarde. Le site, occupé brièvement à l’âge du fer, présente également des vestiges romains plus tardifs.


Les fouilles en cours visent à dater précisément le site, les datations au radiocarbone actuelles (fin du XIe/début du Xe siècle av. J.-C.) étant non concluantes. 





L’équipe cherche également à localiser la zone de production de bronze. Par ailleurs, le professeur Erez Ben-Yosef suggère que les mines d’Arava, probablement exploitées par les Édomites sous contrôle israélite, approvisionnaient el-Ahwat en cuivre, renforçant l’idée d’une industrie régionale connectée.


Cette découverte redéfinit notre compréhension des compétences technologiques des premiers Israélites et de leur influence régionale, offrant un aperçu d’une société ancienne potentiellement prospère.






© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

C'est  délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog j'exprime en général un coup de coeur 

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les photos et films sont prises sur le web, là aussi pour une utilisation strictement personnelle 



English


Archaeological Breakthrough at el-Ahwat Reveals Ancient Israelite Bronze Production


Archaeologists from the University of Haifa have unearthed the earliest evidence of bronze production in the Southern Levant at el-Ahwat, a site 20 kilometers east of Caesarea, dating to around 3,000 years ago. Published in PLOS ONE, the findings suggest advanced metallurgical skills and trade networks, potentially linked to the early Israelite kingdom during the biblical United Monarchy of David and Solomon (late 11th–early 10th century BCE).

Microscopic and chemical analysis of smelting residues confirmed on-site bronze production during the early Iron Age (12th–10th century BCE), with copper sourced from the Arava desert’s Timna and Faynan mines. This discovery challenges prior assumptions of limited metalworking among early Israelites, indicating a sophisticated society capable of producing bronze from scratch, not just recycling it. Dr. Tzilla Eshel, a lead researcher, emphasized the significance: “This opens up a whole new world.”

The findings fuel debates about the United Monarchy’s existence, with some scholars arguing it was a powerful kingdom, while others see it as a modest chiefdom. El-Ahwat’s strategic location along a trade route near the Carmel mountains suggests it was a hub for combining imported tin with local copper, hinting at an organized polity—possibly the early Israelites.

Previously, el-Ahwat sparked controversy due to claims by the late archaeologist Adam Zertal, who linked its 13th-century BCE fortifications to Sardinia’s nuraghe structures and the “Sea Peoples.” Current excavations, led by Eshel and Dr. Shay Bar, dismiss this connection, finding no Sardinian pottery. Instead, the site’s short-lived Iron Age occupation and later Roman remains highlight its early significance.

Ongoing excavations aim to pinpoint the site’s exact age, as current radiocarbon dating from olive pits (late 11th/early 10th century BCE) is inconclusive. The team also seeks to locate the bronze production area. Meanwhile, Prof. Erez Ben-Yosef suggests the Arava mines, likely operated by Edomites under Israelite control, supplied el-Ahwat’s copper, supporting the idea of a connected regional industry.

This discovery reshapes our understanding of early Israelite technological prowess and regional influence, offering a glimpse into a potentially thriving ancient societ


Español: 


Descubrimiento arqueológico en el-Ahwat revela la producción de bronce por los antiguos israelitas

Arqueólogos de la Universidad de Haifa han descubierto la evidencia más antigua de producción de bronce en el Levante Sur, en el sitio de el-Ahwat, ubicado a 20 kilómetros al este de Cesarea, con una antigüedad de aproximadamente 3.000 años. Publicado en la revista PLOS ONE, el hallazgo sugiere habilidades metalúrgicas avanzadas y redes comerciales, posiblemente vinculadas al naciente reino israelita durante la Monarquía Unida de David y Salomón (finales del siglo XI – principios del siglo X a.C.).

El análisis microscópico y químico de residuos de fundición confirmó la producción de bronce en el lugar durante la Edad del Hierro temprana (siglos XII-X a.C.), con cobre procedente de las minas de Timna y Faynan en el desierto de Arava. Este descubrimiento desafía la idea de que los primeros israelitas tenían habilidades metalúrgicas limitadas, revelando una sociedad sofisticada capaz de producir bronce desde cero, no solo de reciclarlo. La Dra. Tzilla Eshel, coautora del estudio, destacó la importancia: “Esto abre un mundo completamente nuevo”.

Los hallazgos alimentan el debate sobre la existencia de la Monarquía Unida, con algunos académicos defendiendo que fue un reino poderoso, mientras que otros lo consideran un simple cacicazgo modesto. La ubicación estratégica de el-Ahwat, en una ruta comercial cerca de las montañas del Carmelo, sugiere que fue un centro para combinar estaño importado con cobre local, lo que apunta a una entidad política organizada, posiblemente los primeros israelitas.

Anteriormente, el-Ahwat generó controversia debido a las teorías del arqueólogo Adam Zertal, quien relacionaba sus fortificaciones del siglo XIII a.C. con las estructuras nurágicas de Cerdeña y los “Pueblos del Mar”. Las excavaciones actuales, lideradas por Eshel y el Dr. Shay Bar, descartan esta conexión, al no hallarse cerámica sarda. El sitio, ocupado brevemente en la Edad del Hierro, también presenta restos romanos posteriores.

Las excavaciones en curso buscan datar el sitio con precisión, ya que las dataciones por radiocarbono actuales (finales del siglo XI/principios del siglo X a.C.) no son concluyentes. El equipo también pretende localizar el área de producción de bronce. Por su parte, el profesor Erez Ben-Yosef sugiere que las minas de Arava, probablemente operadas por los edomitas bajo control israelita, suministraban cobre a el-Ahwat, reforzando la idea de una industria regional conectada.

Este descubrimiento redefine nuestra comprensión de las habilidades tecnológicas de los primeros israelitas y su influencia regional, ofreciendo una visión de una sociedad antigua potencialmente próspera.

Normalisation selon la Droite traditionnelle israélienne (FR, EN, ES, HE). JBCH N° 300

Ce francophone a été ambassadeur d'Israël en Mauritanie,  puis journaliste et enfin député du Likoud , Il a été de tous les combats à côté de Nathanyaou, il semble prendre de la hauteur et s'oppose a Ben Gvi et a Smotrich, jugés par lui trop extémistes


La Normalisation : 

Clef de la Victoire Stratégique d’Israël selon Boaz Bismuth





Dans ses récentes déclarations à la Knesset, le député Boaz Bismuth, président de la commission des affaires étrangères et de la défense, a insisté sur l’importance de la normalisation des relations d’Israël avec les pays arabes et musulmans. Selon lui, cette normalisation représente non seulement un outil diplomatique majeur, mais aussi un levier stratégique pour consolider la sécurité et la souveraineté israélienne sur le long terme.






Bismuth soutient que la victoire militaire seule, même contre Hamas ou l’Iran, ne suffit pas à assurer la sécurité durable d’Israël. Bien que la structure militaire de Hamas ait été affaiblie et que les pressions internationales pèsent sur l’Iran, la reconnaissance diplomatique et l’intégration régionale sont, selon lui, encore plus déterminantes.


La normalisation permet de neutraliser la propagande iranienne et hamassienne, qui visent à délégitimer Israël sur la scène internationale. En obtenant la reconnaissance officielle par un nombre croissant de pays, Israël affaiblit toute stratégie future fondée sur la contestation de son existence.


Bismuth place la normalisation dans le cadre de la réalisation historique du sionisme. Tout comme David Ben-Gurion avait accepté la partition en 1948 pour établir l’État d’Israël, Israël est aujourd’hui confronté à un nouveau moment décisif, après le 7 octobre, qui peut être considéré comme une « deuxième guerre d’indépendance ».


Dans ce contexte, la concession pour la normalisation – notamment en direction d’un autre état pour les arabes de palestine  est perçue comme un choix pragmatique. Elle permet à Israël de sécuriser sa souveraineté et d’entrer pleinement dans le cadre diplomatique régional, tout en réduisant le risque d’isolement ou de pressions internationales futures.




Boaz Bismuth souligne que la normalisation apporte plusieurs bénéfices stratégiques : Renforcement de la légitimité d’Israël dans le monde arabe et musulman. Endiguement des idéologies hostiles à travers la reconnaissance officielle de l’État juif. Stabilité régionale accrue, en réduisant le risque de conflits massifs et en limitant les actions de déstabilisation d’alliances hostiles. Accélération du rapprochement économique et diplomatique, renforçant la coopération dans des domaines tels que la sécurité, l’énergie et la technologie.

Selon Bismuth, ces avantages surpassent même ceux d’une victoire purement militaire, car ils assurent une paix durable et une intégration d’Israël au cœur de la région.




Pour que la normalisation progresse, Bismuth et d’autres acteurs régionaux insistent sur la nécessité d’une solution palestinienne. L’accord avec des pays comme l’Arabie Saoudite inclut la mise en œuvre concrète d’étapes vers un État palestinien, afin de réduire les tensions entre Israéliens et Palestiniens et de garantir la durabilité des accords.

Cette approche illustre la stratégie pragmatique d’Israël : accepter des concessions limitées pour obtenir une reconnaissance maximale et consolider sa position sur le long terme.``

Bismuth considère que la voie de la normalisation est la clé pour mettre fin à la guerre la plus longue de l’histoire d’Israël et atteindre la « victoire totale » tant recherchée. Au-delà des succès militaires ponctuels, c’est l’intégration régionale et la légitimation diplomatique qui assureront la stabilité, la sécurité et la prospérité de l’État juif dans les décennies à venir.

Ainsi, pour Bismuth, la normalisation n’est pas un simple geste diplomatique, mais la réalisation concrète d’une vision sioniste stratégique, garantissant à Israël son statut d’État souverain, légitime et pleinement intégré au Moyen-Orient moderne.






© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


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English 


This French-speaking diplomat was Israel’s ambassador to Mauritania, then a journalist, and finally a Likud member of the Knesset. He has fought alongside Netanyahu in every battle, but now seems to take a more elevated view, opposing Ben Gvir and Smotrich, whom he considers too extreme.

Normalization: The Key to Israel’s Strategic Victory according to Boaz Bismuth

In recent statements at the Knesset, MK Boaz Bismuth, chairman of the Foreign Affairs and Defense Committee, emphasized the importance of normalizing Israel’s relations with Arab and Muslim countries. According to him, this normalization is not only a major diplomatic tool but also a strategic lever to consolidate Israeli security and sovereignty over the long term.

Bismuth argues that military victory alone, even against Hamas or Iran, is insufficient to guarantee Israel’s long-term security. While Hamas’s military structure has been weakened and international pressure is weighing on Iran, diplomatic recognition and regional integration are, in his view, even more decisive.

Normalization allows Israel to neutralize Iranian and Hamas propaganda, which aim to delegitimize Israel internationally. By obtaining official recognition from a growing number of countries, Israel undermines any future strategy based on challenging its existence.

Bismuth frames normalization as part of the historic realization of Zionism. Just as David Ben-Gurion accepted partition in 1948 to establish the State of Israel, Israel now faces another decisive moment after October 7, which can be considered a “second war of independence.”

In this context, concessions for normalization – notably regarding a state for the Arabs of Palestine – are seen as a pragmatic choice. They allow Israel to secure sovereignty and fully enter the regional diplomatic framework, while reducing the risk of isolation or future international pressures.

Bismuth highlights several strategic benefits of normalization:

  • Strengthening Israel’s legitimacy in the Arab and Muslim world.

  • Containing hostile ideologies through official recognition of the Jewish state.

  • Increasing regional stability by reducing the risk of large-scale conflicts and limiting destabilizing actions from hostile alliances.

  • Accelerating economic and diplomatic rapprochement, enhancing cooperation in areas such as security, energy, and technology.

According to Bismuth, these advantages even surpass those of purely military victory, as they ensure lasting peace and integration of Israel into the heart of the region.

For normalization to progress, Bismuth and other regional actors insist on the necessity of a Palestinian solution. Agreements with countries like Saudi Arabia include concrete steps toward a Palestinian state, aiming to reduce tensions between Israelis and Palestinians and ensure the sustainability of the agreements.

This approach illustrates Israel’s pragmatic strategy: accept limited concessions to gain maximum recognition and consolidate its position in the long term.

Bismuth believes that normalization is the key to ending Israel’s longest war in history and achieving the long-sought “total victory.” Beyond isolated military successes, regional integration and diplomatic legitimation will ensure the stability, security, and prosperity of the Jewish state for decades to come.

For Bismuth, normalization is not just a diplomatic gesture, but the concrete realization of a strategic Zionist vision, guaranteeing Israel its status as a sovereign, legitimate, and fully integrated state in the modern Middle East.


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This article is personal; I do not claim to be a scientist, historian, or professional journalist. It is delicate to testify as a layperson, but in this blog, I generally express a heartfelt opinion based on current events and my reading of the international press. Photos and videos are taken from the web, strictly for personal use.


Español

Este francófono fue embajador de Israel en Mauritania, luego periodista y finalmente diputado del Likud. Ha estado en todas las batallas junto a Netanyahu, pero ahora parece adoptar una visión más elevada, oponiéndose a Ben Gvir y Smotrich, a quienes considera demasiado extremistas.

La Normalización: La Clave de la Victoria Estratégica de Israel según Boaz Bismuth

En recientes declaraciones en la Knesset, el diputado Boaz Bismuth, presidente del Comité de Asuntos Exteriores y Defensa, destacó la importancia de normalizar las relaciones de Israel con los países árabes y musulmanes. Según él, esta normalización no solo representa una herramienta diplomática importante, sino también una palanca estratégica para consolidar la seguridad y soberanía israelí a largo plazo.

Bismuth sostiene que la victoria militar por sí sola, incluso contra Hamas o Irán, no es suficiente para garantizar la seguridad duradera de Israel. Aunque la estructura militar de Hamas se ha debilitado y la presión internacional sobre Irán aumenta, el reconocimiento diplomático y la integración regional son, según él, aún más decisivos.

La normalización permite neutralizar la propaganda iraní y de Hamas, que busca deslegitimar a Israel internacionalmente. Al obtener reconocimiento oficial de un número creciente de países, Israel debilita cualquier estrategia futura basada en desafiar su existencia.

Bismuth enmarca la normalización dentro de la realización histórica del sionismo. Así como David Ben-Gurión aceptó la partición en 1948 para establecer el Estado de Israel, Israel ahora enfrenta otro momento decisivo tras el 7 de octubre, que puede considerarse una “segunda guerra de independencia.”

En este contexto, la concesión para la normalización – especialmente respecto a un estado para los árabes de Palestina – se percibe como una elección pragmática. Permite a Israel asegurar su soberanía y participar plenamente en el marco diplomático regional, reduciendo al mismo tiempo el riesgo de aislamiento o presiones internacionales futuras.

Bismuth destaca varios beneficios estratégicos de la normalización:

  • Fortalecimiento de la legitimidad de Israel en el mundo árabe y musulmán.

  • Contención de ideologías hostiles mediante el reconocimiento oficial del Estado judío.

  • Mayor estabilidad regional, reduciendo el riesgo de conflictos masivos y limitando acciones desestabilizadoras de alianzas hostiles.

  • Aceleración del acercamiento económico y diplomático, fortaleciendo la cooperación en áreas como seguridad, energía y tecnología.

Según Bismuth, estas ventajas superan incluso a las de una victoria puramente militar, ya que aseguran paz duradera e integración de Israel en el corazón de la región.

Para que la normalización avance, Bismuth y otros actores regionales insisten en la necesidad de una solución palestina. Los acuerdos con países como Arabia Saudita incluyen pasos concretos hacia un Estado palestino, con el objetivo de reducir tensiones entre israelíes y palestinos y garantizar la sostenibilidad de los acuerdos.

Este enfoque refleja la estrategia pragmática de Israel: aceptar concesiones limitadas para obtener el máximo reconocimiento y consolidar su posición a largo plazo.

Bismuth cree que la normalización es la clave para poner fin a la guerra más larga en la historia de Israel y alcanzar la “victoria total” tan deseada. Más allá de los éxitos militares aislados, la integración regional y la legitimación diplomática garantizarán la estabilidad, seguridad y prosperidad del Estado judío en las próximas décadas.

Para Bismuth, la normalización no es solo un gesto diplomático, sino la realización concreta de una visión sionista estratégica, garantizando a Israel su estatus de estado soberano, legítimo e integrado plenamente en el Medio Oriente moderno.


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Este artículo es personal; no pretendo ser científico, historiador ni periodista profesional. Es delicado testimoniar como profano, pero en este blog, generalmente expreso una opinión personal basada en la actualidad y en mi lectura de la prensa internacional. Las fotos y videos son tomados de la web, exclusivamente para uso personal.


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דיפלומט דובר צרפתית זה היה שגריר ישראל במוריטניה, לאחר מכן עיתונאי, ולבסוף חבר כנסת מטעם הליכוד. הוא נלחם לצד נתניהו בכל הקרבות, אך כעת נראה שהוא נוקט גישה רציונלית יותר ומתנגד לבן גביר ולסמוטריץ’, אותם הוא רואה כקיצוניים מדי.


נרמול: המפתח לניצחון האסטרטגי של ישראל לפי בועז ביסמוט


בהצהרותיו האחרונות בכנסת, חבר הכנסת בועז ביסמוט, יו”ר ועדת החוץ והביטחון, הדגיש את חשיבות נרמול היחסים של ישראל עם המדינות הערביות והמוסלמיות. לדבריו, נרמול זה אינו רק כלי דיפלומטי חשוב, אלא גם מנוף אסטרטגי לחיזוק ביטחון וריבונות ישראל בטווח הארוך.


1. נרמול מול ניצחון צבאי


ביסמוט טוען שניצחון צבאי בלבד, גם מול חמאס או איראן, אינו מספיק להבטחת ביטחון ישראלי מתמשך. אף על פי שמבנה הצבא של חמאס הוחלש והלחץ הבינלאומי על איראן גובר, ההכרה הדיפלומטית והאינטגרציה האזורית הן, לדעתו, מכריעות אף יותר.


הנרמול מאפשר לישראל לנטרל את התעמולה האיראנית והחמאסית, שמטרתה לערער את לגיטימיותה של ישראל בזירה הבינלאומית. באמצעות השגת הכרה רשמית ממספר הולך וגדל של מדינות, ישראל מחלישה כל אסטרטגיה עתידית המבוססת על התנגדות לקיומה.


ביסמוט רואה בנרמול חלק מהגשמת החזון ההיסטורי של הציונות. כפי שדוד בן-גוריון קיבל את החלוקה ב-1948 להקמת מדינת ישראל, ישראל ניצבת כיום בפני רגע מכריע נוסף לאחר ה-7 באוקטובר, שניתן לראותו כ”מלחמת עצמאות שנייה”.


במסגרת זו, ההפשרה לצורך הנרמול – במיוחד ביחס למדינה עבור ערביי פלסטין – נתפסת כבחירה פרגמטית. היא מאפשרת לישראל להבטיח את ריבונותה ולהיכנס באופן מלא למסגרת הדיפלומטית האזורית, תוך הפחתת סיכון לבידוד או ללחצים בינלאומיים עתידיים.


2. יתרונות אסטרטגיים


ביסמוט מדגיש מספר יתרונות אסטרטגיים לנרמול:

  • חיזוק לגיטימיות ישראל בעולם הערבי והמוסלמי.

  • בלימת אידיאולוגיות עוינות באמצעות הכרה רשמית במדינה היהודית.

  • יציבות אזורית מוגברת, באמצעות הפחתת הסיכון לסכסוכים רחבי היקף והגבלת פעולות מפריעות של בריתות עוינות.

  • האצת קרבה כלכלית ודיפלומטית, וחיזוק שיתוף פעולה בתחומי ביטחון, אנרגיה וטכנולוגיה.


לדבריו, יתרונות אלו עולים אפילו על ניצחון צבאי בלבד, שכן הם מבטיחים שלום מתמשך ואינטגרציה של ישראל בלב האזור.


3. פתרון פלסטיני כתנאי


כדי שהנרמול יתקדם, ביסמוט ושחקנים אזוריים אחרים מתעקשים על הצורך בפתרון פלסטיני. הסכמים עם מדינות כמו סעודיה כוללים צעדים מוחשיים להקמת מדינה פלסטינית, במטרה להפחית מתחים בין ישראלים לפלסטינים ולהבטיח את קיימות ההסכמים.


גישה זו ממחישה את האסטרטגיה הפרגמטית של ישראל: לקבל ויתורים מוגבלים כדי להשיג הכרה מרבית ולבסס את עמדתה לטווח הארוך.


ביסמוט סבור שנרמול הוא המפתח לסיום המלחמה הארוכה ביותר בהיסטוריה של ישראל ולהשגת ה”ניצחון המלא” הרצוי כל כך. מעבר להצלחות צבאיות נקודתיות, אינטגרציה אזורית והכשרה דיפלומטית יבטיחו את היציבות, הביטחון והשגשוג של המדינה היהודית בעשורים הבאים.


לפי ביסמוט, נרמול אינו רק צעד דיפלומטי, אלא מימוש מוחשי של חזון ציוני אסטרטגי, שמבטיח לישראל מעמד של מדינה ריבונית, לגיטימית ומשולבת באופן מלא במזרח התיכון המודרני.


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