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jeudi 4 septembre 2025

Le hamas et les arabes de palestine vivent dans et par le mensonge (FR, EN, ES). JBCH N° 331




Le Hamas n'est pas un parti nationaliste, ce n'est pas un parti politique, c'est une idéologie qui n'a aucun respect pour la vie, dont les membres ont été éduqués pendant les vingt dernières années à ne pas craindre la mort et à éliminer tous les mécréants, d'abord les juifs, puis les chrétiens.


C'est pourquoi, il ne signera jamais la Paix, sauf en pratiquant la Takya, le mensonge) il ira jusqu'au bout, dans sa volonté de conquérir le monde pour imposer la Charia et le contrôle des territoires déjà acquis dans le passé.


 La déclaration publiée mercredi par le Hamas marque une tentative de repositionement politique au cœur d’un conflit marqué par une extrême brutalité et une impasse militaire persistante. 





En affirmant être prêt à conclure un accord global — libération de tous les otages en échange d’un nombre déterminé de prisonniers palestiniens — le mouvement terroriste tente de modifier la perception internationale en se présentant comme une partie disposée à négocier, ce qui est faux.


Cependant, le vocabulaire employé reste révélateur : les otages israéliens sont appelés « prisonniers », plaçant ainsi sur un pied d’égalité des civils enlevés lors d’attaques sanglantes et des détenus palestiniens incarcérés par décision judiciaire. Ce glissement sémantique illustre l’un des enjeux principaux du conflit : la bataille pour imposer une lecture légitime des faits.


L’autre volet de la déclaration du Hamas — la proposition d’un gouvernement « national » de technocrates à Gaza — doit être compris dans le cadre plus large de la crise de gouvernance palestinienne. 





En théorie, une telle administration pourrait répondre à la demande croissante, y compris chez certains acteurs internationaux, d’un pouvoir civil non militarisé dans l’enclave. 


Mais en pratique, il est difficile d’imaginer que cette proposition soit sincère ou réaliste. Le Hamas conserve une double nature, à la fois organisation militaire et appareil politico-religieux. 


L’idée qu’il se désengagerait volontairement du pouvoir au profit d’une entité neutre et indépendante apparaît peu crédible. On peut donc lire cette annonce comme une manœuvre de communication destinée à regagner une légitimité, alors que son image internationale demeure fortement associée au terrorisme et aux violences contre des civils.


Face à cette déclaration, le bureau du Premier ministre israélien a rappelé des conditions strictes et non négociables pour mettre fin à la guerre. Les cinq points avancés — libération des otages, désarmement de Hamas, démilitarisation de Gaza, maintien d’un contrôle sécuritaire israélien et mise en place d’une administration civile alternative — traduisent la ligne de fond d’Israël : empêcher tout retour à une situation où Gaza pourrait redevenir une base opérationnelle pour des attaques. 




Ces conditions apparaissent pour Israël comme des garanties minimales de sécurité, mais elles sont perçues par de nombreux Palestiniens comme une exigence de capitulation totale et une perte de toute souveraineté. Cet écart souligne combien le fossé entre les deux camps reste abyssal.



La réaction de Donald Trump sur son réseau Truth Social vient s’ajouter à ce contexte tendu. En exigeant la libération immédiate de tous les otages, il reprend une position d’intransigeance qui correspond largement au discours israélien, mais en l’énonçant dans un style populiste et percutant. 



Sa sortie peut avoir un double effet : accroître la pression politique sur le Hamas, mais aussi nourrir une perception selon laquelle Washington (ou du moins une partie de la classe politique américaine) adopte une position exclusivement alignée sur Israël, ce qui complique la recherche d’un consensus international.


Au total, la déclaration du Hamas et les réponses qu’elle suscite montrent à quel point la guerre est entrée dans une phase où les discours comptent autant que les armes. 


Chacun tente de remodeler le récit : le Hamas essaye d' apparaître comme un interlocuteur politique, Israël insiste sur la nécessité d’une rupture totale avec le terrorisme, et les acteurs internationaux oscillent entre appels humanitaires et considérations stratégiques. 


Tant que les deux camps maintiendront des conditions aussi éloignées l’une de l’autre — désarmement total exigé par Israël d’un côté, maintien d’un rôle politique revendiqué par le Hamas de l’autre — la perspective d’une solution durable restera fragile.


Ô comme je regrette d'avoir salué la décision d'Ariel Sharon d'évacuer la bande de Gaza, et d'avoir cru aux mensonges des arabes de palestine, 


Ô que je regrette d'avoir suivi Perez qui a convaincu Rabin pour serrer la main d'Arafat ce terroriste, faiseur de maux.


Il ne faut pas les croire, et il faudra attendre une ou deux générations avec des livres d'histoire et une éducation non tronqués, pour voir s'évaporer la haine et retrouver toute fraternité entre arabes et juifs au Proche Orient




 © 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

C'est  délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog j'exprime en général un coup de coeur 

d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale quotidienne

les photos et films sont prises sur le web, là aussi pour une utilisation strictement personnelle, privée.


English Translation


Hamas is not a nationalist party, nor a political party; it is an ideology that has no respect for life. Its members have been educated over the last twenty years not to fear death and to eliminate all infidels—first the Jews, then the Christians.


That is why it will never sign Peace, except by practicing Taqiyya (deception). It will go all the way in its will to conquer the world, impose Sharia law, and control the territories it once claimed.


The statement published on Wednesday by Hamas marks an attempt at political repositioning in the midst of a conflict marked by extreme brutality and a persistent military stalemate.


By claiming to be ready to conclude a comprehensive deal — the release of all hostages in exchange for a set number of Palestinian prisoners — the terrorist movement seeks to alter international perception, presenting itself as a party willing to negotiate, which is false.


Yet, the vocabulary used remains revealing: Israeli hostages are called “prisoners,” thus equating civilians kidnapped during bloody attacks with Palestinian detainees held by judicial decision. This semantic shift illustrates one of the main stakes of the conflict: the battle to impose a legitimate narrative of the facts.


The other component of Hamas’s statement — the proposal of a “national” technocratic government in Gaza — must be understood within the broader context of the Palestinian governance crisis.


In theory, such an administration could respond to the growing demand, including from some international actors, for a non-militarized civil authority in the enclave.


In practice, however, it is difficult to imagine that this proposal is sincere or realistic. Hamas retains a dual nature, both a military organization and a politico-religious apparatus.


The idea that it would voluntarily disengage from power in favor of a neutral and independent entity appears hardly credible. This announcement is best understood as a communication maneuver to regain legitimacy, while its international image remains strongly associated with terrorism and violence against civilians.


In response, the office of the Israeli Prime Minister reiterated strict, non-negotiable conditions to end the war. The five key points — release of the hostages, disarmament of Hamas, demilitarization of Gaza, continued Israeli security control, and the establishment of an alternative civil administration — reflect Israel’s bottom line: preventing any return to a situation where Gaza could once again serve as an operational base for attacks.


For Israel, these conditions are seen as minimal security guarantees, but for many Palestinians they amount to demands for total capitulation and loss of sovereignty. This gap highlights how deep the chasm remains between the two sides.


The reaction of Donald Trump on his Truth Social platform adds to this tense context. By demanding the immediate release of all hostages, he echoed Israel’s hardline position, though in a populist and striking style.


His intervention may have a double effect: increasing political pressure on Hamas, but also reinforcing the perception that Washington (or at least part of the American political class) is exclusively aligned with Israel, complicating efforts to build international consensus.


Altogether, Hamas’s declaration and the responses it triggered demonstrate that this war has entered a stage where words matter as much as weapons.


Each side seeks to reshape the narrative: Hamas tries to appear as a political interlocutor, Israel insists on the necessity of a complete break with terrorism, and international actors oscillate between humanitarian appeals and strategic considerations.


As long as the two sides maintain such irreconcilable conditions — Israel demanding total disarmament, Hamas insisting on a political role — the prospect of a lasting solution will remain fragile.


Oh, how I regret having welcomed Ariel Sharon’s decision to evacuate the Gaza Strip, and for believing the lies of the Arabs of Palestine.


Oh, how I regret following Peres, who convinced Rabin to shake hands with Arafat, that terrorist and maker of misery.


They cannot be trusted. It will take one or two generations, with unaltered history books and honest education, before hatred evaporates and true brotherhood between Arabs and Jews in the Middle East can be restored.


© 2025 JBCH. All rights reserved. Reproduction prohibited without permission.


Traducción al español


Hamás no es un partido nacionalista, ni un partido político; es una ideología que no tiene respeto por la vida. Sus miembros han sido educados durante los últimos veinte años a no temer a la muerte y a eliminar a todos los infieles: primero a los judíos, luego a los cristianos.


Por eso, nunca firmará la Paz, salvo practicando la Taqiyya (engaño). Llegará hasta el final en su voluntad de conquistar el mundo, imponer la Sharía y controlar los territorios ya reclamados en el pasado.


La declaración publicada el miércoles por Hamás marca un intento de reposicionamiento político en medio de un conflicto caracterizado por una brutalidad extrema y un estancamiento militar persistente.


Al afirmar estar dispuesto a concluir un acuerdo global —la liberación de todos los rehenes a cambio de un número determinado de prisioneros palestinos— el movimiento terrorista intenta modificar la percepción internacional presentándose como una parte dispuesta a negociar, lo cual es falso.


Sin embargo, el vocabulario empleado sigue siendo revelador: los rehenes israelíes son llamados “prisioneros”, poniendo así en un mismo plano a civiles secuestrados durante ataques sangrientos y a detenidos palestinos encarcelados por decisión judicial. Este deslizamiento semántico ilustra uno de los principales retos del conflicto: la batalla por imponer una lectura legítima de los hechos.


El otro aspecto de la declaración de Hamás —la propuesta de un gobierno “nacional” de tecnócratas en Gaza— debe entenderse en el marco más amplio de la crisis de gobernanza palestina.


En teoría, una administración así podría responder a la creciente demanda, incluso entre algunos actores internacionales, de una autoridad civil no militarizada en la franja.


Pero en la práctica, es difícil imaginar que esta propuesta sea sincera o realista. Hamás mantiene una doble naturaleza, a la vez organización militar y aparato político-religioso.


La idea de que se desentendería voluntariamente del poder en favor de una entidad neutral e independiente resulta poco creíble. Esta declaración puede leerse como una maniobra de comunicación destinada a recuperar legitimidad, mientras su imagen internacional sigue asociada fuertemente al terrorismo y a la violencia contra civiles.


Ante esta declaración, la oficina del Primer Ministro israelí recordó unas condiciones estrictas y no negociables para poner fin a la guerra. Los cinco puntos planteados —liberación de los rehenes, desarme de Hamás, desmilitarización de Gaza, mantenimiento del control de seguridad israelí y creación de una administración civil alternativa— reflejan la posición de fondo de Israel: impedir cualquier retorno a una situación en la que Gaza pueda volver a ser una base operativa de ataques.


Para Israel, estas condiciones son garantías mínimas de seguridad, pero muchos palestinos las perciben como una exigencia de capitulación total y una pérdida absoluta de soberanía. Esta diferencia pone de relieve lo profundo que sigue siendo el abismo entre ambos bandos.


La reacción de Donald Trump en su red Truth Social se suma a este contexto tenso. Al exigir la liberación inmediata de todos los rehenes, retoma una posición de intransigencia que corresponde ampliamente al discurso israelí, aunque expresada en un estilo populista y contundente.


Su intervención puede tener un doble efecto: aumentar la presión política sobre Hamás, pero también alimentar la percepción de que Washington (o al menos parte de la clase política estadounidense) adopta una posición exclusivamente alineada con Israel, lo que complica la búsqueda de un consenso internacional.


En conjunto, la declaración de Hamás y las respuestas que provoca muestran hasta qué punto la guerra ha entrado en una fase en la que las palabras cuentan tanto como las armas.


Cada parte trata de remodelar el relato: Hamás intenta aparecer como un interlocutor político, Israel insiste en la necesidad de una ruptura total con el terrorismo, y los actores internacionales oscilan entre llamamientos humanitarios y consideraciones estratégicas.


Mientras los dos bandos mantengan condiciones tan irreconciliables —Israel exigiendo el desarme total, Hamás reivindicando un papel político— la perspectiva de una solución duradera seguirá siendo frágil.


¡Oh, cuánto lamento haber saludado la decisión de Ariel Sharon de evacuar la Franja de Gaza y haber creído en las mentiras de los árabes de Palestina!


¡Oh, cuánto lamento haber seguido a Peres, quien convenció a Rabin de estrechar la mano de Arafat, ese terrorista y hacedor de males!


No se les puede creer. Habrá que esperar una o dos generaciones, con libros de historia no manipulados y una educación honesta, para que el odio se evapore y pueda restablecerse la fraternidad entre árabes y judíos en Oriente Próximo.


© 2025 JBCH. Todos los derechos reservados. Reproducción prohibida sin autorización.


Pourquoi la Cuisine israélienne est au Sommet (FR, EN, ES). BCH N° 330


La cuisine israélienne ne se limite pas à un simple art de table ; elle incarne un récit, celui d’un pays jeune mais chargé d’une mémoire plurimillénaire, marqué par des migrations, des exils, des rencontres et des métissages culturels. Par essence, elle se nourrit de la diversité de ses habitants et illustre la capacité du peuple juif à assimiler et à transformer les influences culinaires des régions qu’il a traversées.


Les tables israéliennes racontent d’abord une histoire de diasporas. On y retrouve les parfums et les saveurs des grandes aires géographiques où le judaïsme a pris racine au fil des siècles :

  • Le Levant arabe (Liban, Syrie, Égypte) a légué des plats incontournables comme le houmous, le falafel, les salades fraîches aux herbes et au citron, ou encore les grillades parfumées.

  • Les juifs sépharades et maghrébins ont introduit la dafina, le couscous, les bricks, les tajines, les pâtisseries au miel et aux amandes.

  • Les ashkénazes d’Europe centrale et orientale ont apporté la carpe farcie, les gefilte fish, la soupe de betterave (borsch), les beignets de pommes de terre (latkes), ou encore les pains briochés de Chabbat (hallot).

  • Les juifs venus de Turquie, d’Iran, d’Irak ou du Yémen ont enrichi la table israélienne de mets épicés, de riz parfumé, de pains traditionnels (comme la laffa ou le malawach) et de sauces relevées.


Cet ensemble fait d’Israël un véritable melting-pot gastronomique, où les cultures culinaires se croisent, se répondent et se réinventent. C’est une mosaïque unique, qui ne se retrouve dans aucun autre pays de la même manière.


Depuis une dizaine d’années, un tournant s’est amorcé : une nouvelle génération de chefs israéliens réinterprète ce patrimoine foisonnant avec une créativité sans limite. La cuisine israélienne contemporaine, souvent qualifiée de “fusion”, combine les influences internationales (française, italienne, japonaise, sud-américaine) avec une identité locale forte.


Quelques caractéristiques de ce courant culinaire : 

L’audace : les associations d’ingrédients paraissent parfois improbables mais séduisent par leur équilibre. 

La valorisation du végétal : légumes de saison, herbes fraîches, céréales et légumineuses sont au cœur des assiettes. 

Les épices : utilisées avec finesse, elles reflètent l’héritage du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. 

La qualité des produits : Israël bénéficie d’un terroir ensoleillé, où fruits et légumes atteignent une intensité aromatique rare.

Tel-Aviv est devenue une capitale gastronomique mondiale, célébrée par la presse culinaire internationale pour son dynamisme et sa créativité.


Si la cuisine israélienne séduit autant, c’est qu’elle est à la fois identitaire et universelle. Elle incarne un peuple en perpétuelle construction, qui puise dans ses racines tout en regardant vers l’avenir. Elle répond aussi aux grandes tendances mondiales :

  • Le régime méditerranéen, reconnu comme l’un des plus sains au monde.

  • La montée du véganisme, dont Israël est l’un des épicentres, en particulier à Tel-Aviv. Houmous, falafel, salades, graines, huile d’olive, lentilles et pois chiches forment une base végétale naturelle et gourmande.

  • L’alliance entre santé et plaisir : en Israël, manger sain n’est pas un effort, mais un art joyeux, coloré et savoureux.


Au-delà de son territoire, la cuisine israélienne s’exporte avec succès. À Paris, des adresses comme Miznon d’Eyal Shani, Tavline, Magniv ou Chiche connaissent un succès fulgurant. Ces restaurants ne se contentent pas de reproduire des recettes traditionnelles ; ils transmettent une expérience festive, généreuse et conviviale, qui est l’âme même de la gastronomie israélienne.



La littérature culinaire s’est également emparée du sujet. Des chefs de renommée internationale comme Yotam Ottolenghi (avec Jérusalem) ou Chloé Saada (Paris – Tel Aviv) on
t contribué à démocratiser et à magnifier cette cuisine auprès d’un public occidental en quête d’authenticité et d’exotisme.


La cuisine israélienne est bien plus qu’un assemblage de plats : elle est une métaphore vivante de l’histoire et de l’identité d’Israël. Elle raconte la mémoire des exils, la richesse du retour, la créativité d’un peuple qui fait dialoguer héritage et innovation. Elle est à la fois refuge et laboratoire, ancrée dans une tradition millénaire mais propulsée dans la modernité par une génération de chefs visionnaires.


En ce sens, s’attabler dans un restaurant israélien, que ce soit à Tel-Aviv, à Jérusalem ou à Paris, c’est entreprendre un voyage à travers le temps et l’espace, où les goûts, les couleurs et les odeurs tissent le récit d’une nation et de son peuple.


NB : Le succès planétaire de Yotam Ottolenghi


Le chef anglo-israélien Yotam Ottolenghi s’est imposé comme une véritable icône culinaire mondiale. Ses recettes, inspirées du Moyen-Orient et réinventées dans un esprit méditerranéen, séduisent par leur métissage audacieux, leur richesse en légumes, en herbes fraîches et en épices. Résultat : un style accessible, coloré et convivial, qui a bouleversé les habitudes alimentaires en Occident.

Yotam Ottolenghi 

Ottolenghi, c’est aujourd’hui près de dix millions de livres vendus à travers le monde, traduits dans de multiples langues, et toujours classés parmi les best-sellers. Ses ouvrages ne sont pas de simples recueils de recettes, mais de véritables manifestes culinaires, alliant santé, générosité et créativité. Sa popularité est amplifiée par ses 2,3 millions d’abonnés Instagram, ses chroniques culinaires régulières pour le Guardian et le New York Times, ainsi que par une gamme de vaisselle et de produits dérivés qui prolongent son univers jusque dans nos cuisines.

Au-delà des chiffres, Ottolenghi a changé le rapport des Occidentaux à la cuisine du Levant : il a introduit dans les foyers européens et américains le zaatar, le tahini ou encore la mélasse de grenade, devenus désormais familiers. Son influence est telle que ses recettes figurent sur les tables de fêtes en France comme ailleurs, témoignant d’une véritable révolution culinaire et culturelle.

En somme, Ottolenghi est bien plus qu’un chef : il est un ambassadeur du métissage gastronomique, un passeur de saveurs qui a su transformer la cuisine orientale en un langage universel.

 © 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

C'est  délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog j'exprime en général un coup de coeur 

d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale quotidienne

les photos et films sont prises sur le web, là aussi pour une utilisation strictement personnelle, privée.



English 


Israeli cuisine is not limited to the art of the table; it embodies a narrative, that of a young country carrying a millennia-old memory, shaped by migrations, exiles, encounters, and cultural blending. By essence, it feeds on the diversity of its inhabitants and illustrates the Jewish people’s ability to absorb and transform the culinary influences of the regions they have traversed.

Israeli tables first tell a story of diasporas. They bring together the scents and flavors of the great geographic areas where Judaism took root over the centuries:

  • The Arab Levant (Lebanon, Syria, Egypt) bequeathed iconic dishes such as hummus, falafel, fresh salads with herbs and lemon, and fragrant grilled meats.

  • Sephardic and Maghrebi Jews introduced dafina, couscous, bricks, tagines, honey- and almond-based pastries.

  • Ashkenazi Jews from Central and Eastern Europe brought gefilte fish, carp, beetroot soup (borsch), potato pancakes (latkes), and the sweet braided hallot of Shabbat.

  • Jews from Turkey, Iran, Iraq, or Yemen enriched Israeli tables with spicy dishes, fragrant rice, traditional breads (like laffa or malawach), and piquant sauces.

Together, they make Israel a true gastronomic melting pot, where culinary cultures intersect, respond to each other, and reinvent themselves—a unique mosaic unlike anywhere else.

Over the last decade, a new generation of Israeli chefs has begun reinterpreting this abundant heritage with boundless creativity. Contemporary Israeli cuisine, often described as “fusion,” combines international influences (French, Italian, Japanese, South American) with a strong local identity.

Its main characteristics include:

  • Boldness: ingredient pairings that may seem improbable but captivate with their balance.

  • Plant-based valorization: seasonal vegetables, fresh herbs, grains, and legumes are at the heart of the plates.

  • Spices: used with finesse, reflecting Middle Eastern and North African heritage.

  • Quality of produce: Israel’s sunny terroir yields fruits and vegetables of rare aromatic intensity.

Tel Aviv has become a global gastronomic capital, celebrated by the international food press for its dynamism and creativity.

Israeli cuisine captivates because it is both identity-based and universal. It embodies a people in perpetual construction, drawing from its roots while looking toward the future. It also aligns with major global trends:

  • The Mediterranean diet, recognized as one of the healthiest in the world.

  • The rise of veganism, with Israel—particularly Tel Aviv—being one of its epicenters. Hummus, falafel, salads, grains, olive oil, lentils, and chickpeas form a natural and gourmet plant-based foundation.

  • The alliance of health and pleasure: in Israel, eating healthy is not an effort but a joyful, colorful, and flavorful art.

Beyond its borders, Israeli cuisine has successfully spread worldwide. In Paris, places like Eyal Shani’s Miznon, Tavline, Magniv, or Chiche are thriving. These restaurants do not merely reproduce traditional recipes; they transmit a festive, generous, convivial experience—the very soul of Israeli gastronomy.

Culinary literature has also embraced the subject. Internationally renowned chefs like Yotam Ottolenghi (Jerusalem) or Chloé Saada (Paris – Tel Aviv) have contributed to democratizing and elevating this cuisine for Western audiences in search of authenticity and exoticism.

Israeli cuisine is much more than an assemblage of dishes: it is a living metaphor of Israel’s history and identity. It tells the memory of exiles, the richness of return, the creativity of a people who make heritage and innovation converse. It is at once refuge and laboratory, anchored in millennia-old tradition yet propelled into modernity by visionary chefs.

To sit at an Israeli restaurant table—in Tel Aviv, Jerusalem, or Paris—is to embark on a journey through time and space, where tastes, colors, and aromas weave the story of a nation and its people.


The Global Success of Yotam Ottolenghi


The Anglo-Israeli chef Yotam Ottolenghi has become a true global culinary icon. His recipes, inspired by the Middle East and reimagined with a Mediterranean spirit, seduce with their bold blending, vegetable richness, fresh herbs, and spices. The result is an accessible, colorful, convivial style that has transformed eating habits in the West.

Ottolenghi has sold nearly ten million books worldwide, translated into multiple languages, consistently ranking among bestsellers. His works are not mere recipe collections but true culinary manifestos, combining health, generosity, and creativity. His popularity is amplified by 2.3 million Instagram followers, regular food columns for The Guardian and The New York Times, and a line of tableware and products that extend his universe into our kitchens.

Beyond the numbers, Ottolenghi has changed how Westerners relate to Levantine cuisine: he introduced zaatar, tahini, and pomegranate molasses into European and American homes, now familiar staples. His influence is such that his recipes are found on festive tables in France and beyond, attesting to a true culinary and cultural revolution.

In short, Ottolenghi is more than a chef: he is an ambassador of gastronomic blending, a transmitter of flavors who has transformed Eastern cuisine into a universal language.


Español

La cocina israelí no se limita al arte de la mesa; encarna un relato, el de un país joven pero cargado de una memoria milenaria, marcado por migraciones, exilios, encuentros y mestizajes culturales. Por esencia, se nutre de la diversidad de sus habitantes e ilustra la capacidad del pueblo judío de asimilar y transformar las influencias culinarias de las regiones que ha atravesado.


Las mesas israelíes cuentan ante todo una historia de diásporas. Reúnen los aromas y sabores de las grandes áreas geográficas donde el judaísmo echó raíces a lo largo de los siglos:

  • El Levante árabe (Líbano, Siria, Egipto) legó platos emblemáticos como el hummus, el falafel, las ensaladas frescas con hierbas y limón, y las carnes a la parrilla perfumadas.

  • Los judíos sefardíes y magrebíes introdujeron la dafina, el cuscús, los bricks, los tajines y la repostería a base de miel y almendras.

  • Los asquenazíes de Europa Central y del Este aportaron la carpa rellena, el gefilte fish, la sopa de remolacha (borsch), los buñuelos de patata (latkes), y los panes trenzados de Shabat (jalot).

  • Los judíos procedentes de Turquía, Irán, Irak o Yemen enriquecieron la mesa israelí con platos especiados, arroz aromático, panes tradicionales (como la laffa o el malawach) y salsas picantes.


Este conjunto convierte a Israel en un auténtico crisol gastronómico, donde las culturas culinarias se cruzan, dialogan y se reinventan. Es un mosaico único, irrepetible en cualquier otro país.


En los últimos diez años, una nueva generación de chefs israelíes ha comenzado a reinterpretar este vasto patrimonio con una creatividad sin límites. La cocina israelí contemporánea, a menudo calificada de “fusión”, combina influencias internacionales (francesa, italiana, japonesa, sudamericana) con una fuerte identidad local.

Algunas características de esta corriente culinaria:

  • Audacia: combinaciones de ingredientes que parecen improbables pero seducen por su equilibrio.

  • Revalorización de lo vegetal: verduras de temporada, hierbas frescas, cereales y legumbres ocupan un lugar central.

  • Especias: utilizadas con sutileza, reflejan el legado de Oriente Medio y del Magreb.

  • Calidad de los productos: Israel goza de un terroir soleado, donde frutas y verduras alcanzan una intensidad aromática excepcional.


Tel Aviv se ha convertido en una capital gastronómica mundial, celebrada por la prensa internacional por su dinamismo y creatividad.

La cocina israelí seduce porque es a la vez identitaria y universal. Encierra la historia de un pueblo en construcción permanente, que se nutre de sus raíces mirando hacia el futuro. Responde además a grandes tendencias globales:

  • La dieta mediterránea, reconocida como una de las más saludables del mundo.

  • El auge del veganismo, cuyo epicentro se encuentra en Israel, especialmente en Tel Aviv. Hummus, falafel, ensaladas, granos, aceite de oliva, lentejas y garbanzos forman una base vegetal natural y sabrosa.

  • La alianza entre salud y placer: en Israel, comer sano no es un esfuerzo, sino un arte alegre, colorido y delicioso.

Más allá de sus fronteras, la cocina israelí se exporta con éxito. En París, lugares como Miznon de Eyal Shani, Tavline, Magniv o Chiche triunfan rotundamente. Estos restaurantes no se limitan a reproducir recetas tradicionales; transmiten una experiencia festiva, generosa y convivencial, que constituye el alma misma de la gastronomía israelí.

La literatura culinaria también se ha apropiado del tema. Chefs de renombre internacional como Yotam Ottolenghi (Jerusalén) o Chloé Saada (París – Tel Aviv) han contribuido a democratizar y magnificar esta cocina para un público occidental ávido de autenticidad y exotismo.

La cocina israelí es mucho más que un conjunto de platos: es una metáfora viva de la historia y de la identidad de Israel. Relata la memoria de los exilios, la riqueza del retorno, la creatividad de un pueblo que hace dialogar herencia e innovación. Es a la vez refugio y laboratorio, anclada en una tradición milenaria pero proyectada hacia la modernidad por una generación de chefs visionarios.

En este sentido, sentarse a la mesa de un restaurante israelí, sea en Tel Aviv, Jerusalén o París, es emprender un viaje a través del tiempo y del espacio, donde los sabores, colores y aromas tejen el relato de una nación y de su pueblo.


El éxito mundial de Yotam Ottolenghi

El chef anglo-israelí Yotam Ottolenghi se ha convertido en un verdadero icono culinario mundial. Sus recetas, inspiradas en Oriente Medio y reinventadas con un espíritu mediterráneo, seducen por su mestizaje audaz, su riqueza en verduras, hierbas frescas y especias. El resultado: un estilo accesible, colorido y convivencial que ha transformado los hábitos alimenticios en Occidente.

Ottolenghi ha vendido cerca de diez millones de libros en todo el mundo, traducidos a múltiples idiomas y siempre presentes en las listas de bestsellers. Sus obras no son simples recetarios, sino auténticos manifiestos culinarios que combinan salud, generosidad y creatividad. Su popularidad se amplifica con 2,3 millones de seguidores en Instagram, sus columnas regulares para The Guardian y The New York Times, y una gama de vajillas y productos que prolongan su universo hasta nuestras cocinas.

Más allá de las cifras, Ottolenghi ha cambiado la relación de los occidentales con la cocina levantina: introdujo el zaatar, el tahini y la melaza de granada en los hogares europeos y americanos, hoy productos familiares. Su influencia es tal que sus recetas aparecen en las mesas festivas en Francia y más allá, testimoniando una verdadera revolución culinaria y cultural.

En suma, Ottolenghi es mucho más que un chef: es un embajador del mestizaje gastronómico, un transmisor de sabores que ha transformado la cocina oriental en un lenguaje universal.

L'alliance LFI / Hamas (FR). JBCH N° 329

Sur  l’article de Claude Goldenfeld paru dans Tribune Juive (2/09/25) : Les liens préoccupants entre l’extrême gauche française et les groupes terroristes ou islamistes


L’article de Claude Goldenfeld, publié dans Tribune Juive le 2 septembre 2025, est une tribune engagée sous forme d’une lettre ouverte adressée au ministre de l’Intérieur, au garde des Sceaux, à des avocats et associations luttant contre l’islamisme et l’antisémitisme, ainsi qu’aux députés impliqués dans une future commission d’enquête parlementaire sur les liens entre mouvements politiques et réseaux islamistes. 





Goldenfeld, connu pour ses positions critiques envers La France insoumise (LFI) et l’extrême gauche, compile des informations publiques pour dénoncer des “liaisons inquiétantes” entre figures de LFI et des groupes terroristes comme le Hamas ou le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP). Il évoque le concept juridique d’“intelligence avec une organisation terroriste” (articles 411-4 et suivants du Code pénal français), un crime grave qu’il estime applicable à plusieurs élus insoumis.







L’auteur rappelle une plainte déposée en septembre 2024 par l’association Avocats sans Frontières (présidée par Me Gilles-William Goldnadel) contre trois députés LFI – Rima Hassan, Thomas Portes et Ersilia Soudais – pour apologie du terrorisme et intelligence avec des groupes djihadistes. 




Un an plus tard, en 2025, la procédure stagne, ce que Goldenfeld qualifie d’“inertie de la justice”. Ses objectifs : élargir le champ des enquêtes potentielles, alerter sur les menaces pour l’État de droit et la sécurité nationale, et poser la question de la dissolution de LFI. Il interpelle directement le garde des Sceaux sur l’avancement des plaintes contre ces élus pour apologie du terrorisme, antisémitisme ou menaces de mort, en référence à un engagement médiatique sur CNews au début de l’été 2025.


Cet article s’inscrit dans une série de tribunes de Goldenfeld dans Tribune Juive, comme “J’accuse LFI d’être devenu le Parti de l’antisémitisme en France” (janvier 2025) ou “Du dealer au leader : LFI accro à l’antisémitisme” (février 2025), où il accuse LFI de relais de la propagande islamiste, d’antisémitisme et de compromissions avec des mouvements radicaux. Il reflète un contexte tendu post-7 octobre 2023, marqué par une hausse des actes antisémites en France et des débats sur les alliances “islamo-gauchistes”.


Goldenfeld structure son dossier autour de deux axes principaux, étayés par des références à des publications sur X (anciennement Twitter) et des vidéos, pour démontrer des liens concrets entre LFI et des organisations classées terroristes par l’UE, les États-Unis et Israël.

1.  Le Hamas et les Flottilles pour Gaza
L’auteur met en lumière les révélations du 1er septembre 2025 sur X, où le Hamas admet officiellement organiser les “Flottilles pour Gaza”, présentées comme humanitaires mais qualifiées de propagande politique et médiatique. Il cite un post de @SlMONWEINBERG (Simon Weinberg), qui rapporte une interview sur Al Jazeera de Zaher Birawi, membre du Hamas et coordinateur de la flottille. Birawi avoue que les navires transportent peu d’aide, avec un objectif “politique” pour défier “l’occupation” israélienne, même après un éventuel cessez-le-feu. Goldenfeld lie cela à une autre publication de @halteconnerie (du 18 juin 2025), qui détaille le financement de la flottille par des groupes terroristes affiliés au Hamas, comme l’IHH (Fondation humanitaire turque, accusée par les États-Unis d’être créée par le Hamas pour blanchir des fonds). Il mentionne l’implication de Rima Hassan et Greta Thunberg dans une expédition sur le voilier Madleen (lié à l’Iran) et le navire Conscience (affilié à l’IHH et à Al-Qaïda). Selon lui, tous les participants français, y compris des députés LFI comme Thomas Portes (prévu pour le 4 septembre 2025), pourraient être complices d’intelligence avec le Hamas. L’article inclut une image d’un post X alertant sur ces liens, soulignant la surprise feinte face à ces connexions avec des ONG comme l’Union of Good (présidée par le théoricien des Frères musulmans Yusuf al-Qaradawi).



2.  Le FPLP et LFI
Goldenfeld évoque une vidéo rétrospective (postée par @Enthoven_R, Raphaël Enthoven, le 25 février 2025) illustrant les “liens innombrables” entre LFI et le FPLP, un groupe marxiste-palestinien classé terroriste en Europe pour ses attentats et son rôle dans le 7 octobre 2023 (y compris la cérémonie des cercueils). Il cite Jean-Luc Mélenchon admettant, le 30 novembre 2023, avoir été sollicité pour intercéder auprès du FPLP pour libérer le bébé otage Bibas (enlevé après le 7 octobre). Dans un extrait audio de 24 secondes, Mélenchon qualifie l’enfant d’“ignominie absolue” et feint d’ignorer l’acronyme FPLP, démontrant selon l’auteur une “duplicité grotesque”. Goldenfeld insiste sur la proximité notoire de LFI avec le FPLP, rendant ces élus vulnérables à des poursuites.

L’article se termine sur une note alarmiste, appelant à une action judiciaire et politique pour protéger la France de ces “menaces”.



Cet article est un plaidoyer pour la vérité typique du style de Tribune Juive, un média de la communauté juive française, qui documente souvent l’antisémitisme et l’islamisme en France. 


Goldenfeld excelle dans la compilation de sources publiques (posts X, vidéos, enquêtes médiatiques comme celles de Franc-Tireur ou Le Point), rendant son dossier factuellement étayé – par exemple, les aveux du Hamas sur Al Jazeera confirment un financement occulte de 10 millions de dollars pour la flottille, et les liens LFI-FPLP sont corroborés par des vidéos publiques. 


Cependant, il  assimile LFI à un “parti de l’antisémitisme”  . L’inertie judiciaire qu’il dénonce est réelle : les plaintes contre Rima



Hassan, Portes et Soudais traînent, malgré des engagements ministériels, soulignant un débat plus large sur l’impunité des élus (comme l’évoque Gilles-William Goldnadel dans Le Figaro en 2024-2025).

FDPLP

Sur le fond, Goldenfeld met le doigt sur un enjeu crucial : les alliances “islamo-gauchistes” post-7 octobre, où LFI est accusé de relativiser le terrorisme (apologie du Hamas, proposition d’abroger le délit d’apologie en novembre 2024)., ce qui est inadmissible, et ainsi on révelle l'anisémitisme qui passe à l'acte. D'où un départ de la Communauté juive de France.





Cela rejoint des analyses comme celle de Renée Fregosi dans Le Figaro (2024), voyant en LFI un “allié zélé de l’islamisme”. Politiquement incorrect mais substantiel, l’appel à dissoudre LFI échoit à une commission d’enquête parlementaire votée en juin 2025, qui pourrait élargir les investigations. 


LFI parle de défense de la “résistance palestinienne” comme acte politique et oublie les tueries de civils par des hordes assoiffées de sang,  mais il alerte justement sur les risques sécuritaires : participation à des flottilles financées par le terrorisme expose à des infractions pénales, et les liens avec le FPLP (impliqué dans des attentats historiques comme celui du Drakkar en 1983) menacent la laïcité républicaine. Israël doit lutter contre le mensonge, contre l'injustice et pour sauver son état des barbares.







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