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vendredi 12 septembre 2025

Critterz ... Le Cinéma par OpenAI est prêt ... (FR, EN, ES) JBCH N° 378



OpenAI dévoile « Critterz » : un film d’animation généré à l’IA qui serait présenté à Cannes

 Ce long-métrage d’animation intitulé « Critterz », prévu pour mai 2026, pourrait marquer un tournant dans l’histoire du cinéma. Produit par Vertigo Films (Royaume-Uni) et Native Foreign (Culver City, Californie), ce projet utilise des outils d’intelligence artificielle développés par OpenAI, sans soutien financier direct de l’entreprise. L’œuvre s’inspire d’un court-métrage de 2023, qui parodiait les documentaires animaliers en montrant des créatures de forêt fantastiques se rebellant contre leur représentation passive.


Le projet surprend par son mode de production : une équipe réduite de quelques dizaines de personnes et un budget inférieur à 30 millions de dollars, contre des centaines de techniciens et des coûts allant de 150 à 200 millions pour un film d’animation classique produit aux États-Unis. Les animateurs humains dessinent les personnages, mais l’IA intervient pour générer les storyboards et les images intermédiaires. Certains membres de l’équipe viennent de parcours variés, comme un technicien ayant travaillé sur Space Jam en 1996.



Cette méthode est comparée à la révolution de “Toy Story” (1995), qui avait imposé l’animation numérique dans le cinéma grand public. Pour Nik Kleverov, directeur créatif de Native Foreign, « Critterz » montre que l’IA peut devenir un outil central de production et ouvrir la voie à une nouvelle vague de cinéma indépendant, capable de produire davantage d’histoires originales avec des moyens réduits.


Cependant, ce film apparaît dans un contexte tendu : Hollywood débat intensément du rôle de l’IA, notamment depuis les grèves des scénaristes et acteurs en 2023. Les grandes sociétés de production craignent que ces technologies bouleversent les emplois et menacent la propriété intellectuelle ; certaines, comme Warner Bros., Disney ou Universal, ont déjà lancé des poursuites judiciaires contre des entreprises d’IA comme Midjourney.


La première mondiale du film est prévue pour le Festival de Cannes 2026, avant une sortie internationale. Si le film réussit son pari technique et artistique, il pourrait accélérer l’intégration de l’IA dans l’industrie du divertissement. Mais son succès ou son échec dépendra surtout d’une chose : l’accueil du public et des professionnels face à ce mariage inédit entre imagination humaine et intelligence artificielle.

L’IA prend peu à peu sa place dans les domaines artistiques, notamment dans l’audiovisuel. Souvenez-vous, Adobe avait récemment lancé “The Unfinished Film” : un cadavre exquis créatif pour réinventer le cinéma avec l’IA.




© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

C'est  délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog,  j'exprime en général un coup de coeur 

d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale quotidienne



🇬🇧 

English 

OpenAI Unveils “Critterz”: An AI-Generated Animated Film Set to Premiere at Cannes

The animated feature film “Critterz”, scheduled for May 2026, could mark a turning point in cinema history. Produced by Vertigo Films (United Kingdom) and Native Foreign (Culver City, California), the project uses artificial intelligence tools developed by OpenAI, without direct financial support from the company. The work is inspired by a 2023 short film that parodied nature documentaries, depicting fantastical woodland creatures rebelling against their passive on-screen portrayals.

The project is striking for its production model: a small team of only a few dozen people and a budget under $30 million, compared to the hundreds of technicians and $150 to $200 million typically required for an animated feature produced in the United States. Human animators draw the characters, but AI is used to generate the storyboards and intermediate frames. Some team members come from diverse backgrounds, including a technician who worked on Space Jam in 1996.

This approach is being compared to the “Toy Story” (1995) revolution, which brought computer animation into mainstream cinema. According to Nik Kleverov, chief creative officer of Native Foreign, “Critterz” demonstrates that AI can become a central production tool and pave the way for a new wave of independent cinema, capable of producing more original stories with fewer resources.

However, the film emerges in a tense context: Hollywood is fiercely debating the role of AI, especially since the 2023 writers’ and actors’ strikes. Major studios fear these technologies could disrupt jobs and threaten intellectual property. Some, including Warner Bros., Disney, and Universal, have already filed lawsuits against AI companies such as Midjourney.

The world premiere of the film is scheduled for the 2026 Cannes Film Festival, ahead of an international release. If the film succeeds technically and artistically, it could accelerate the integration of AI into the entertainment industry. But its success or failure will largely depend on one thing: the reaction of audiences and professionals to this unprecedented blend of human imagination and artificial intelligence.

AI is steadily carving its place in the arts, particularly in audiovisual media. Recall that Adobe recently launched “The Unfinished Film”, a creative “cadavre exquis” experiment designed to reinvent cinema with AI.


© 2025 JBCH. All rights reserved. Reproduction of the text prohibited without authorization.


This article is personal: I do not claim to be a scientist, historian, or professional journalist. It is delicate to share opinions as a non-expert, but in this blog, I generally express a heartfelt reaction — inspired by current events and my daily international press review.


🇪🇸 Español


OpenAI presenta “Critterz”: una película de animación generada con IA que se estrenará en Cannes

El largometraje de animación “Critterz”, previsto para mayo de 2026, podría marcar un punto de inflexión en la historia del cine. Producido por Vertigo Films (Reino Unido) y Native Foreign (Culver City, California), este proyecto utiliza herramientas de inteligencia artificial desarrolladas por OpenAI, sin apoyo financiero directo de la empresa. La obra se inspira en un cortometraje de 2023 que parodiaba los documentales de naturaleza, mostrando criaturas fantásticas del bosque rebelándose contra su representación pasiva en pantalla.

El proyecto sorprende por su modelo de producción: un pequeño equipo de apenas unas decenas de personas y un presupuesto inferior a 30 millones de dólares, frente a los cientos de técnicos y los 150 a 200 millones que suele requerir una película de animación clásica producida en Estados Unidos. Los animadores humanos dibujan los personajes, pero la IA se encarga de generar los guiones gráficos y los fotogramas intermedios. Algunos miembros del equipo provienen de trayectorias diversas, como un técnico que trabajó en Space Jam en 1996.

Este enfoque se compara con la revolución de “Toy Story” (1995), que introdujo la animación digital en el cine mainstream. Según Nik Kleverov, director creativo de Native Foreign, “Critterz” demuestra que la IA puede convertirse en una herramienta central de producción y abrir el camino a una nueva ola de cine independiente, capaz de producir más historias originales con menos recursos.

Sin embargo, la película aparece en un contexto tenso: Hollywood debate intensamente el papel de la IA, especialmente desde las huelgas de guionistas y actores en 2023. Los grandes estudios temen que estas tecnologías transformen los empleos y amenacen la propiedad intelectual; algunos, como Warner Bros., Disney y Universal, ya han presentado demandas contra empresas de IA como Midjourney.

El estreno mundial de la película está previsto para el Festival de Cannes 2026, antes de su lanzamiento internacional. Si la película logra su apuesta técnica y artística, podría acelerar la integración de la IA en la industria del entretenimiento. Pero su éxito o fracaso dependerá principalmente de una cosa: la acogida del público y de los profesionales ante esta combinación inédita entre imaginación humana e inteligencia artificial.

La IA va ganando terreno poco a poco en los ámbitos artísticos, especialmente en lo audiovisual. Recordemos que Adobe lanzó recientemente “The Unfinished Film”, un “cadáver exquisito” creativo para reinventar el cine con la IA.


© 2025 JBCH. Todos los derechos reservados. Reproducción del texto prohibida sin autorización.


Este artículo es personal: no pretendo ser ni científico, ni historiador, ni periodista profesional. Es delicado dar testimonio como profano, pero en este blog expreso, en general, un sentimiento personal — inspirado por la actualidad y la lectura de mi revista de prensa internacional diaria.

Opinion de Charles Rojzman Tribune Juive 10/09 2025. (FR). JBCH N° 377

Le confort moral contre la vérité tragique: Ce qui nous oppose à Delphine Horvilleur

Nous ne débattons pas avec Delphine Horvilleur d’une nuance ou d’un détail. Nous sommes face à une divergence de fond, qui touche à l’essence même du judaïsme contemporain : est-il une réalité politique, enracinée dans la survie historique d’un peuple menacé, ou bien une voix morale, détachée du réel, offerte à l’admiration universelle ?

1. Un judaïsme politique contre un judaïsme de confort

Pour nous, Israël n’est pas une métaphore : c’est une citadelle fragile, l’unique lieu où les Juifs, après des siècles de persécutions, disposent d’une souveraineté. Défendre Israël est un impératif vital. Delphine Horvilleur, au contraire, incarne un judaïsme français de confort : un judaïsme qui n’a pas besoin d’Israël pour exister, qui se nourrit de reconnaissance culturelle et médiatique, et qui s’adosse à l’universalisme républicain pour être acceptable. Ce judaïsme-là se maintient dans la société française en se présentant comme conscience morale, non comme réalité politique.

2. La tentation de l’universalisme abstrait

Nous savons que ce discours s’inscrit dans une vieille tradition française : le Juif ne doit être toléré qu’à condition de se justifier par l’universel, en renonçant à son particularisme. Horvilleur prolonge ce schéma : Israël n’est légitime qu’à condition d’incarner une supériorité morale. Mais un peuple n’existe pas par la morale : il existe parce qu’il survit.

3. Le piège de la compassion universelle

Delphine Horvilleur veut mettre sur le même plan les victimes israéliennes et palestiniennes, comme si le conflit se réduisait à une tragédie symétrique. Pour nous, c’est un contresens historique : ce qui se joue à Gaza, c’est la confrontation entre un projet génocidaire et la survie d’un peuple. Dissoudre cela dans un langage compassionnel, c’est se rendre complice d’un récit qui nie la singularité d’Israël et banalise la haine qui le vise. La compassion, quand elle devient unique horizon, n’est plus un humanisme : elle est un désarmement.

4. Deux fidélités irréconciliables

Il y a désormais deux judaïsmes : Le nôtre, qui assume le tragique, qui sait que la survie d’Israël prime sur la reconnaissance morale, qui refuse la soumission à l’illusion humanitaire. Le sien, qui préfère être aimé de la gauche intellectuelle que fidèle à l’histoire, qui troque la lucidité contre l’admiration, et qui croit sauver l’âme juive en l’arrachant à son corps politique.

Conclusion : la vérité contre l’illusion

Ce que nous refusons, c’est qu’on admire encore le Juif prophète, compatissant et universel, mais qu’on rejette le Juif souverain, armé, politique, celui d’Israël. Delphine Horvilleur, par son discours, conforte ce vieux désir européen : le Juif acceptable est celui qui parle pour les autres, jamais celui qui se défend lui-même. Or nous savons, et nous l’affirmons : sans Israël, le judaïsme n’est qu’un ornement moral pour salons progressistes. Avec Israël, il redevient une réalité historique, tragique, irréductible. Et c’est précisément ce que beaucoup, en France et ailleurs, ne supportent pas.

Boissons sucrées et microbiome Etude du Technion. (FR, EN, ES). JBCH N° 376

Je viens d'apprendre que notre circuit digestif renfermait une intelligence, celle d'éliminer , celle de réguler, celle de dresser les bactéries et enfin encore d'autres facteurs inconnus que nous essayons de comprendre et de maîtriser.



Une équipe de chercheurs de la Faculté de médecine Ruth et Bruce Rappaport (Technion, Israël), dirigée par la professeure Naama Geva-Zatorsky et comprenant notamment la doctorante Noa Gal-Mandelbaum ainsi que le Smoler Proteomics Center, a récemment publié dans la revue Nature Communications une étude majeure sur le rôle des bactéries intestinales et leur étonnante capacité d’adaptation.



Leur travail met en lumière la manière dont certains composants alimentaires – en particulier le sucre contenu dans les boissons sucrées – modifient la composition et la fonction du microbiome, avec des conséquences directes sur le système immunitaire.


Le microbiome : un écosystème essentiel et dynamique :  L’intestin humain abrite une communauté microbienne foisonnante, souvent comparée à un véritable « zoo intérieur ». Ces micro-organismes, en coévolution avec l’homme depuis des millénaires, assurent des fonctions vitales : digestion des nutriments, protection contre les agents pathogènes, régulation de l’immunité, synthèse de molécules bénéfiques et même détoxification de certaines substances.


Cette flore intestinale n’est pas statique : elle s’adapte constamment aux variations de l’environnement et de l’alimentation. Or, comme l’explique la professeure Geva-Zatorsky, comprendre la plasticité fonctionnelle des bactéries , c’est-à-dire leur capacité à changer rapidement de rôle et de comportement est crucial pour saisir comment nos choix alimentaires influencent notre santé


Le rôle des inversions d’ADN bactérien 

L’équipe s’est particulièrement intéressée à une bactérie intestinale clé, Bacteroides thetaiotaomicron (ou B. theta), connue pour son rôle dans la digestion et la protection immunitaire.


Les chercheurs ont découvert que certaines régions de l’ADN de cette bactérie subissent des inversions rapides, une sorte d’interrupteur génétique permettant à la bactérie de modifier sa production de protéines et, par conséquent, son interaction avec le système immunitaire.




Ce mécanisme est déclenché par l’alimentation, en particulier par la consommation de sucres simples comme le glucose et le saccharose. Chez des souris de laboratoire, la consommation de boissons sucrées a conduit à des modifications mesurables : changements du protéome (ensemble des protéines produites par la bactérie), variations des réponses immunitaires, incluant des réactions parfois pro-inflammatoires, parfois anti-inflammatoires, altération de la population de cellules T et de la sécrétion de cytokines. 

Boissons sucrées et immunité : un effet réversible Les résultats sont clairs : la consommation de sucre blanc a entraîné une reprogrammation fonctionnelle des bactéries, avec des effets immunitaires notables. Toutefois, les chercheurs ont aussi observé que l’arrêt de la consommation de sucre permettait un retour à la normale.


Autrement dit, les bactéries intestinales disposent d’une étonnante souplesse fonctionnelle qui leur permet de s’adapter aux changements alimentaires, mais qui peut aussi fragiliser l’équilibre immunitaire si la consommation de sucres est chronique.




Cette étude souligne la complexité des interactions entre alimentation, microbiome et santé humaine. Elle montre que des choix alimentaires simples – comme limiter les boissons sucrées – peuvent avoir des effets significatifs sur l’équilibre immunitaire.


À terme, ces travaux ouvrent la voie à : des recommandations nutritionnelles personnalisées, adaptées au microbiome de chaque individu, une meilleure compréhension des mécanismes inflammatoires liés à l’alimentation, de nouvelles stratégies pour prévenir certaines maladies métaboliques et immunitaires.



La professeure Geva-Zatorsky résume ainsi la portée de ces résultats :    « Étudier les effets des composants alimentaires sur les fonctions des bactéries intestinales nous rapproche de la possibilité de recommander à chacun une alimentation qui soutienne au mieux son système immunitaire et sa santé globale. »


L’étude israélienne démontre de façon éclatante la plasticité fonctionnelle du microbiome : nos bactéries intestinales sont capables de s’adapter rapidement aux changements alimentaires, mais cette souplesse peut aussi se retourner contre nous en cas de consommation excessive de sucres.

 



La bonne nouvelle est que ces effets sont réversibles : en modifiant notre alimentation, nous pouvons influencer favorablement la composition et le rôle de notre microbiote.


Ainsi, la recherche confirme une intuition ancienne, que partageait déjà Mitra Pareva, 95 ans, interrogée dans le cadre de l’étude : « Le yaourt est bon pour moi. Les premiers aliments sur ma table sont le pain et le yaourt. » La sagesse populaire rencontre ici la science moderne : ce que nous mangeons façonne réellement notre santé.



© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
 

C'est  délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog,  j'exprime en général un coup de coeur 

d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale quotidienne


🇬🇧 English 


I have just learned that our digestive system harbors an intelligence of its own: the ability to eliminate, to regulate, to train bacteria, and even other unknown factors that we are still trying to understand and master.


A team of researchers from the Ruth and Bruce Rappaport Faculty of Medicine (Technion, Israel), led by Professor Naama Geva-Zatorsky and including doctoral student Noa Gal-Mandelbaum as well as the Smoler Proteomics Center, recently published in Nature Communications a major study on the role of gut bacteria and their astonishing capacity for adaptation.

Their work highlights how certain food components—particularly the sugar found in sweetened drinks—modify the composition and function of the microbiome, with direct consequences on the immune system.


The microbiome: an essential and dynamic ecosystem

The human gut hosts a thriving microbial community, often compared to a real “inner zoo.” These microorganisms, which have co-evolved with humans for millennia, perform vital functions: digestion of nutrients, protection against pathogens, regulation of immunity, synthesis of beneficial molecules, and even detoxification of certain substances.

This intestinal flora is not static: it constantly adapts to changes in the environment and diet. As Professor Geva-Zatorsky explains, understanding the functional plasticity of bacteria—their ability to quickly change role and behavior—is crucial to grasp how our dietary choices influence our health.

The role of bacterial DNA inversions

The team focused on a key gut bacterium, Bacteroides thetaiotaomicron (or B. theta), known for its role in digestion and immune protection.

The researchers discovered that certain regions of this bacterium’s DNA undergo rapid inversions—a kind of genetic switch that allows the bacterium to modify its protein production and, consequently, its interaction with the immune system.

This mechanism is triggered by diet, particularly the consumption of simple sugars such as glucose and sucrose. In laboratory mice, the consumption of sugary drinks led to measurable changes: alterations in the proteome (the set of proteins produced by the bacterium), variations in immune responses (sometimes pro-inflammatory, sometimes anti-inflammatory), and modifications in T cell populations and cytokine secretion.

Sugary drinks and immunity: a reversible effect

The results are clear: the consumption of white sugar caused a functional reprogramming of bacteria, with notable immune effects. However, the researchers also observed that stopping sugar consumption allowed a return to normal.

In other words, gut bacteria have a remarkable functional flexibility that allows them to adapt to dietary changes, but this flexibility can also weaken immune balance if sugar consumption is chronic.

This study highlights the complexity of interactions between diet, microbiome, and human health. It shows that simple dietary choices—such as limiting sugary drinks—can have significant effects on immune balance.

In the long run, this research paves the way for personalized nutritional recommendations tailored to each individual’s microbiome, a better understanding of diet-related inflammatory mechanisms, and new strategies to prevent certain metabolic and immune diseases.

Professor Geva-Zatorsky sums up the significance of these results:

“Studying the effects of food components on the functions of intestinal bacteria brings us closer to the possibility of recommending a diet for each individual that best supports their immune system and overall health.”

The Israeli study brilliantly demonstrates the functional plasticity of the microbiome: our gut bacteria can adapt rapidly to dietary changes, but this flexibility may also work against us when sugar consumption is excessive.

The good news is that these effects are reversible: by changing our diet, we can positively influence the composition and role of our microbiota.

Thus, research confirms an ancient intuition, already expressed by Mitra Pareva, 95, interviewed as part of the study:

“Yogurt is good for me. The first foods on my table are bread and yogurt.”

Here, popular wisdom meets modern science: what we eat truly shapes our health.


© 2025 JBCH. All rights reserved. Reproduction of the text prohibited without permission.


This article is personal; I do not claim to be a scientist, historian, or professional journalist… It is delicate to testify as a layman, but in this blog, I generally share a personal insight inspired by current events and my daily international press review.


🇪🇸 Español


Acabo de enterarme de que nuestro sistema digestivo alberga una inteligencia propia: la de eliminar, la de regular, la de entrenar a las bacterias y, además, otros factores desconocidos que todavía intentamos comprender y dominar.

Un equipo de investigadores de la Facultad de Medicina Ruth y Bruce Rappaport (Technion, Israel), dirigido por la profesora Naama Geva-Zatorsky e integrado también por la doctoranda Noa Gal-Mandelbaum y el Smoler Proteomics Center, publicó recientemente en Nature Communications un estudio fundamental sobre el papel de las bacterias intestinales y su asombrosa capacidad de adaptación.

Su trabajo pone de relieve cómo ciertos componentes alimentarios—en particular el azúcar presente en las bebidas azucaradas—modifican la composición y la función del microbioma, con consecuencias directas sobre el sistema inmunitario.

El microbioma: un ecosistema esencial y dinámico

El intestino humano alberga una comunidad microbiana floreciente, a menudo comparada con un auténtico “zoológico interior”. Estos microorganismos, que han coevolucionado con el ser humano durante milenios, cumplen funciones vitales: digestión de nutrientes, protección frente a patógenos, regulación de la inmunidad, síntesis de moléculas beneficiosas e incluso desintoxicación de ciertas sustancias.

Esta flora intestinal no es estática: se adapta constantemente a los cambios del entorno y de la alimentación. Como explica la profesora Geva-Zatorsky, comprender la plasticidad funcional de las bacterias—es decir, su capacidad para cambiar rápidamente de función y comportamiento—es crucial para entender cómo nuestras elecciones alimentarias influyen en nuestra salud.

El papel de las inversiones del ADN bacteriano

El equipo se centró en una bacteria intestinal clave, Bacteroides thetaiotaomicron (o B. theta), conocida por su papel en la digestión y la protección inmunitaria.

Los investigadores descubrieron que ciertas regiones del ADN de esta bacteria sufren rápidas inversiones, una especie de interruptor genético que le permite modificar su producción de proteínas y, en consecuencia, su interacción con el sistema inmunitario.

Este mecanismo se activa con la alimentación, en particular con el consumo de azúcares simples como la glucosa y la sacarosa. En ratones de laboratorio, el consumo de bebidas azucaradas produjo cambios medibles: alteraciones en el proteoma (conjunto de proteínas producidas por la bacteria), variaciones en las respuestas inmunitarias (a veces proinflamatorias, a veces antiinflamatorias) y modificaciones en la población de células T y en la secreción de citocinas.

Bebidas azucaradas e inmunidad: un efecto reversible

Los resultados son claros: el consumo de azúcar blanco provocó una reprogramación funcional de las bacterias, con efectos inmunitarios notables. Sin embargo, los investigadores también observaron que al dejar de consumir azúcar se producía un retorno a la normalidad.

En otras palabras, las bacterias intestinales poseen una asombrosa flexibilidad funcional que les permite adaptarse a los cambios dietéticos, pero esa misma flexibilidad puede debilitar el equilibrio inmunitario si el consumo de azúcares es crónico.

Este estudio subraya la complejidad de las interacciones entre alimentación, microbioma y salud humana. Demuestra que elecciones alimentarias simples—como limitar las bebidas azucaradas—pueden tener efectos significativos sobre el equilibrio inmunitario.

A largo plazo, estos trabajos abren la puerta a recomendaciones nutricionales personalizadas adaptadas al microbioma de cada individuo, a una mejor comprensión de los mecanismos inflamatorios vinculados a la dieta y a nuevas estrategias para prevenir ciertas enfermedades metabólicas e inmunitarias.

La profesora Geva-Zatorsky resume así el alcance de estos resultados:

«Estudiar los efectos de los componentes alimentarios sobre las funciones de las bacterias intestinales nos acerca a la posibilidad de recomendar a cada persona una dieta que apoye de la mejor manera su sistema inmunitario y su salud global».

El estudio israelí demuestra de forma contundente la plasticidad funcional del microbioma: nuestras bacterias intestinales pueden adaptarse rápidamente a los cambios alimentarios, pero esta flexibilidad también puede volverse en contra nuestra cuando el consumo de azúcar es excesivo.

La buena noticia es que estos efectos son reversibles: modificando nuestra dieta, podemos influir favorablemente en la composición y en el papel de nuestro microbiota.

Así, la investigación confirma una intuición antigua, ya expresada por Mitra Pareva, de 95 años, entrevistada en el marco del estudio:

«El yogur es bueno para mí. Los primeros alimentos en mi mesa son el pan y el yogur».

Aquí la sabiduría popular se encuentra con la ciencia moderna: lo que comemos realmente moldea nuestra salud.


© 2025 JBCH. Todos los derechos reservados. Prohibida la reproducción del texto sin autorización.


Este artículo es personal; no pretendo ser científico, historiador ni profesional del periodismo… Es delicado dar testimonio como profano, pero en este blog, generalmente expreso una reflexión personal inspirada por la actualidad y mi revisión diaria de la prensa internacional.


Macron jaloux de la "Start Up Nation " (FR, EN, ES, HE). JBCH N° 375


Entre 2015 et 2025, voici l'itinéraire d'un président qui n'a jamais gardé une ligne de conduite droite, autant en économie, qu'en politique étrangère, rejoignant le mauvais penchant d'un Quai d'Orsay antisioniste et anti-sémite depuis de Gaulle ... Un véritable naufrage, et une jalousie poussée par des pays comme le qatar !


En septembre 2015, Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, effectue un déplacement en Israël qui marque durablement son image publique. Au Technion de Haïfa, il se présente comme un « élève venu pour apprendre » de l’écosystème israélien. À ses yeux, Israël représente un modèle de synergie entre chercheurs, entrepreneurs, ingénieurs et investisseurs, une « Start-up Nation » capable de transformer rapidement la recherche en innovation industrielle.




Macron reconnaît à cette époque que la France accuse un retard considérable, près de quinze ans – en matière de culture du risque, de financement des start-up et de passage de la recherche à l’industrie. Inspiré par Israël, il appelle à « mettre les bouchées doubles » pour rattraper ce retard.


Le voyage se traduit aussi par des accords concrets : partenariat entre l’École Polytechnique et le Technion, lancement d’un hub French Tech à Tel-Aviv. Plus largement, il envoie un signal politique fort : Israël est un partenaire incontournable pour l’avenir économique de la France. Ce geste est perçu comme un honneur rendu à Israël, et comme la reconnaissance explicite de son rôle de deuxième pôle d’innovation mondiale derrière la Silicon Valley.

Un virement insufflé par le Qatar


Dix ans plus tard, le contraste est saisissant. En 2024 et 2025, le gouvernement Macron décide d’écarter les industries de défense israéliennes de salons internationaux prestigieux comme Eurosatory (le plus grand salon mondial de l’armement à Villepinte) et le Salon du Bourget (vitrine de l’aéronautique et du spatial).


Ces décisions, officiellement motivées par la « sensibilité de la situation au Proche-Orient » et par la guerre à Gaza, sont vécues en Israël comme un affront. Elles tranchent radicalement avec l’esprit de 2015, où Macron vantait la coopération et l’inspiration. Ici, il ne s’agit plus de mettre en avant l’innovation israélienne, mais de prendre ses distances, en particulier dans le secteur militaire, pourtant l’un des fleurons de l’économie israélienne.

Plusieurs facteurs expliquent ce virage : Pressions diplomatiques européennes et arabes : En tant que chef d’État, Macron ne peut plus se contenter d’un discours économique. Il doit composer avec les sensibilités des partenaires arabes de la France, notamment le Qatar et l’Arabie saoudite, grands investisseurs en Europe et en France. Ces États voient d’un mauvais œil la promotion publique de l’industrie militaire israélienne. Opinion publique française : Depuis octobre 2023, la guerre à Gaza a exacerbé les tensions en France surtout de la part de la population immigrée et de la gauche . 


Le climat social, marqué par la montée des manifestations pro-palestiniennes et un regain d’antisémitisme, pèse sur les choix politiques. Le gouvernement cherche à donner des gages d’« équilibre » afin de contenir une partie de l’opinion. Positionnement stratégique européen : Macron s’efforce de maintenir une image de médiateur au Proche-Orient. Exclure Israël de certains salons militaires est aussi une manière de préserver cette posture diplomatique, même si cela alimente la critique d’un « deux poids, deux mesures ».


Ce double visage de Macron illustre l’écart entre le ministre réformateur de 2015, libre de saluer Israël comme modèle, et le président en exercice, contraint par des rapports de force géopolitiques. Là où l’innovation civile et technologique israélienne pouvait être mise en avant sans controverse, l’industrie militaire israélienne est devenue une zone de tension, au cœur des débats sur Gaza et la sécurité régionale.


Ce changement nourrit un sentiment d’incompréhension, voire de trahison, chez certains acteurs économiques et politiques en Israël, mais aussi en France. En 2015, Macron plaçait Israël comme une référence pour l’avenir. En 2025, il semble parfois le tenir à distance, au nom de considérations diplomatiques.




L’évolution de la relation Macron-Israël raconte deux histoires. La première est celle d’un homme politique émergent, fasciné par la réussite de la « Start-up Nation » et prêt à s’en inspirer pour dynamiser la France. La seconde est celle d’un président confronté à des équilibres internationaux délicats, prêt à  sacrifier et même à rejetter cette proximité sur l’autel de la diplomatie.

Entre admiration au début de son mandat et boycott, à la demande de ses nouveaux amis arabes, Macron incarne la difficulté des dirigeants européens à conjuguer respect pour l’innovation israélienne et gestion des pressions politiques liées au conflit au Proche Orient. 

Ce revirement illustre une vérité plus large : dans la géopolitique contemporaine, l’économie et l’innovation ne peuvent jamais être totalement séparées des enjeux militaires et diplomatiques etMacron a choisi son camp, celui qui sent le gaz et le pétrole.




© 2025 JBCH. Tous droits réservés. Reproduction du texte interdite sans autorisation


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d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale quotidienne




🇬🇧 English 

Emmanuel Macron and Israel: from paying tribute to the Start-up Nation to boycotting the defense industries

Macron in 2015: the student who came to learn from Israel

In September 2015, Emmanuel Macron, then Minister of Economy, visited Israel in a trip that left a lasting mark on his public image. At the Technion in Haifa, he presented himself as a “student who came to learn” from the Israeli ecosystem. To him, Israel represented a model of synergy between researchers, entrepreneurs, engineers, and investors—a true “Start-up Nation” capable of rapidly transforming research into industrial innovation.

Macron admitted at the time that France was lagging behind—about fifteen years—in terms of risk culture, start-up financing, and the transition from research to industry. Inspired by Israel, he called for France to “double down” in order to catch up.

The trip also produced concrete agreements: a partnership between École Polytechnique and the Technion, and the launch of a French Tech hub in Tel Aviv. More broadly, it sent a strong political message: Israel was an essential partner for France’s economic future. This was perceived as a mark of honor to Israel, explicitly recognizing its status as the world’s second innovation hub, right after Silicon Valley.

The turning point: from technological partnership to military boycott

Ten years later, the contrast is striking. In 2024 and 2025, Macron’s government decided to exclude Israeli defense industries from major international exhibitions such as Eurosatory (the world’s largest defense fair in Villepinte) and the Paris Air Show at Le Bourget.

Officially, these decisions were justified by the “sensitivity of the Middle East situation” and the war in Gaza. But in Israel, they were seen as a slap in the face. The tone had shifted: no longer highlighting Israeli innovation, but rather taking distance—especially in the military sector, one of Israel’s economic strongholds.

Why this change?

Several factors explain this turn:

  • Diplomatic pressures from Arab and European partners: As president, Macron must balance France’s relations with Arab countries such as Qatar and Saudi Arabia—major investors in France—who strongly oppose any public promotion of Israel’s military industry.

  • French public opinion: Since October 2023, the war in Gaza has deepened divisions in France. Pro-Palestinian protests and a resurgence of antisemitism have pressured the government to appear “balanced.”

  • European strategic positioning: Macron seeks to maintain France’s image as a mediator in the Middle East. Excluding Israel from defense fairs was also a way of preserving that stance, even if it fueled criticism of “double standards.”

A deliberate contradiction?

This dual approach highlights the gap between Macron the reformist minister of 2015, free to praise Israel as a model, and Macron the president, constrained by geopolitical realities. Civilian and technological innovation could be celebrated without controversy, but Israel’s military industry has become a flashpoint in debates over Gaza and regional security.

This shift has generated frustration and even a sense of betrayal among Israeli partners, and within parts of the French political and economic world. In 2015, Macron elevated Israel as a model for the future. In 2025, he often seems to hold it at arm’s length, for reasons of diplomacy.

Macron’s relationship with Israel tells two different stories. The first is of a young politician inspired by the “Start-up Nation,” eager to draw lessons for France. The second is of a president forced to sacrifice some of that closeness to diplomatic balancing acts.

Between admiration and boycott, Macron illustrates the European dilemma: how to reconcile respect for Israeli innovation with political pressure linked to the Israeli-Palestinian conflict. His evolution demonstrates a broader truth: in today’s geopolitics, economics and innovation can never be fully separated from military and diplomatic issues.


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Emmanuel Macron e Israel: del homenaje a la Start-up Nation al boicot a las industrias de defensa


Macron en 2015: el alumno que vino a aprender de Israel

En septiembre de 2015, Emmanuel Macron, entonces ministro de Economía, realizó un viaje a Israel que marcó su imagen pública. En el Technion de Haifa, se presentó como un «alumno que viene a aprender» del ecosistema israelí. Para él, Israel representaba un modelo de sinergia entre investigadores, empresarios, ingenieros e inversores: una verdadera «Start-up Nation», capaz de transformar rápidamente la investigación en innovación industrial.

En aquel momento, Macron reconoció que Francia llevaba unos quince años de retraso en cuanto a cultura del riesgo, financiación de start-ups y transición de la investigación a la industria. Inspirado por Israel, pidió a Francia «redoblar esfuerzos» para ponerse al día.

El viaje también dio lugar a acuerdos concretos: asociación entre la École Polytechnique y el Technion, y lanzamiento de un hub de French Tech en Tel Aviv. Más allá de eso, envió un mensaje político fuerte: Israel era un socio esencial para el futuro económico de Francia. Este gesto fue percibido como un honor a Israel, al reconocer explícitamente su papel como segundo polo mundial de innovación, justo detrás de Silicon Valley.

El punto de inflexión: de la cooperación tecnológica al boicot militar

Diez años después, el contraste es llamativo. En 2024 y 2025, el gobierno de Macron decidió excluir a las industrias de defensa israelíes de ferias internacionales de prestigio como Eurosatory (el mayor salón mundial de armamento en Villepinte) y el Salón Aeronáutico de Le Bourget.


Oficialmente, estas decisiones se justificaron por la «sensibilidad de la situación en Oriente Medio» y por la guerra en Gaza. En Israel, sin embargo, fueron interpretadas como una afrenta. Ya no se trataba de poner en valor la innovación israelí, sino de marcar distancias, sobre todo en el sector militar, uno de los pilares de la economía israelí.

 ¿Por qué este cambio?

Varias razones explican este giro:

  • Presiones diplomáticas árabes y europeas: Como presidente, Macron debe equilibrar las relaciones de Francia con países árabes como Catar y Arabia Saudí, grandes inversores en Francia, que rechazan cualquier promoción pública de la industria militar israelí.

  • Opinión pública francesa: Desde octubre de 2023, la guerra en Gaza ha polarizado a la sociedad francesa. Las manifestaciones pro-palestinas y el repunte del antisemitismo han empujado al gobierno a dar señales de «equilibrio».

  • Posicionamiento estratégico europeo: Macron busca mantener la imagen de Francia como mediadora en Oriente Medio. Excluir a Israel de ferias militares fue también una manera de sostener esa postura, aun al precio de acusaciones de «doble rasero».

¿Una contradicción asumida?

Esta doble actitud muestra el contraste entre el Macron reformista de 2015, libre para alabar a Israel como modelo, y el Macron presidente, limitado por las realidades geopolíticas. La innovación civil y tecnológica podía ser celebrada sin polémica, pero la industria militar israelí se ha convertido en un punto de fricción central en los debates sobre Gaza y la seguridad regional.

Este cambio ha generado incomprensión e incluso sensación de traición entre algunos socios israelíes, y también en ciertos sectores franceses. En 2015, Macron situaba a Israel como referencia para el futuro. En 2025, a menudo parece mantenerlo a distancia, por motivos diplomáticos.


La evolución de la relación de Macron con Israel cuenta dos historias distintas. La primera es la de un político joven fascinado por la «Start-up Nation» e interesado en inspirarse para transformar Francia. La segunda es la de un presidente obligado a sacrificar parte de esa cercanía en el altar de la diplomacia.


Entre la admiración y el boicot, Macron encarna la dificultad europea de conciliar el respeto por la innovación israelí con las presiones políticas derivadas del conflicto israelí-palestino. Su trayectoria confirma una verdad mayor: en la geopolítica actual, la economía y la innovación nunca pueden desligarse del ámbito militar y diplomático


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