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mardi 2 décembre 2025

Le maître de la désinformation du Hamas parle JBCH N° 2512-684


Le 7 octobre 2023, Israël a subi l’attaque la plus barbare de son histoire contemporaine. Les commandos du Hamas ont délibérément ciblé les civils : enfants massacrés, familles brûlées vives, femmes violées puis exécutées, personnes âgées torturées, jeunes enlevés et traînés dans les tunnels de Gaza. 


Ces horreurs ont été documentées non seulement par les survivants, mais aussi par les propres caméras des terroristes, qui se glorifiaient de leurs crimes. Il ne s’agissait pas d’affrontements militaires, mais d’une volonté méthodique d’assassiner des innocents un acte de terreur pure, en violation absolue du droit international humanitaire. 




Face à ces atrocités, Israël a réagi selon les normes les plus strictes du droit des conflits armés, en respectant les principes de distinction, de proportionnalité et de précaution.


L’armée israélienne prévient les civils avant les frappes, ouvre des corridors humanitaires, diffuse des SMS, appels automatiques et tracts pour évacuer les zones dangereuses un comportement unique au monde. Ces pratiques sont non seulement reconnues par des experts indépendants, mais enseignées dans des académies militaires étrangères comme exemple de conduite éthique en milieu urbain.




Inversement, le Hamas fait exactement l’inverse : il cache volontairement ses armes dans les hôpitaux, les écoles et les mosquées, il utilise les civils comme boucliers humains, et il empêche parfois même des habitants d’évacuer pour maximiser les pertes civiles et accuser Israël.



C’est dans ce contexte que l’affaire Tariq Salami révèle toute sa gravité. Porte-parole du Djihad islamique palestinien et longtemps considéré comme une « source » par des médias prestigieux tels que la BBC, CNN ou Al Jazeera, il a été capturé et interrogé. Ses aveux sont accablants :


il reconnaît avoir fabriqué des mensonges destinés spécifiquement aux médias occidentaux, notamment sur l’explosion de l’hôpital Al-Ahli.

« C’était notre roquette. On le savait, mais nous avons dit que c’était israélien. »

Il admet aussi que les hôpitaux de Gaza sont utilisés comme bases militaires, précisément pour transformer chaque frappe ciblant des infrastructures terroristes en scandale médiatique international. 



Cette stratégie cynique fonctionne d’autant mieux que certains médias occidentaux, pressés ou mal informés, ont relayé ces fausses accusations sans vérifier leurs sources.




Pendant que le Hamas ment, manipule, se cache derrière des civils et instrumentalise leur mort, Israël documente chacune de ses opérations, publie des preuves vidéo, soumet ses décisions au contrôle juridique interne et international, et enquête sur ses propres erreurs lorsqu’elles surviennent.


La différence n’est pas politique : elle est éthique, structurelle, civilisationnelle. Israël agit selon des règles militaires strictes pensées pour protéger les innocents. Le Hamas, lui, construit toute sa stratégie sur leur sacrifice.




Le résultat est clair : si les médias internationaux veulent comprendre la réalité du conflit, ils doivent tenir compte de cette asymétrie fondamentale. 


D’un côté, une démocratie qui cherche à défendre sa population dans le respect des lois de la guerre ; de l’autre, des organisations terroristes qui exploitent la mort de leurs propres civils pour retourner l’opinion mondiale. Apartheid, Génocide, Famine, ... des slogans inventés et repris par toute les gauches.


Reconnaître cette différence n’est pas un acte partisan, mais la condition nécessaire pour retrouver une analyse honnête et fidèle à la vérité. Aujourd'hui on en est encore loin, mais un jour viendra où la vérité émergera. Honte à ceux qui n'ont pas voulu ni voir, ni savoir.




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