Zohran Mamdani : un candidat musulman et pro hamas inconnu devenu poids lourd politique à New York avec l'appui des juifs démocrates libéraux, a profité de la corruption du Maire actuel .. Il est le candidat officiel du Parti Démocrate ... il n'aime naturellement pas Israël.
Il y a seulement six mois, Zohran Mamdani était pratiquement inconnu du grand public new-yorkais. Originaire de la ville de New York et fils d’une famille issue de l’immigration pakistanaise et indo-caribéenne, il a construit sa carrière sur le terrain local, notamment au sein des mouvements progressistes et communautaires de Queens.
Sa trajectoire, bien que discrète jusqu’à récemment, lui a permis de se rapprocher de figures politiques influentes de la ville et d’émerger comme candidat démocrate crédible pour la mairie de New York. Mamdani se présente comme un représentant d’une nouvelle génération de politiciens, issue de la diversité ethnique et culturelle de la ville, et attachée à des valeurs progressistes et sociales. Il est aidé financièrement par Soros et le Qatar.
La position de Mamdani sur les investissements de la ville dans les obligations israéliennes
Lors de sa campagne, Mamdani a déclaré qu’en cas d’élection, il s’opposerait au rétablissement des investissements historiques de la ville de New York dans les Israel Bonds.
Ces obligations, qui totalisaient environ 39 millions de dollars en janvier 2022, n’ont pas été renouvelées lors de leur échéance en 2023. La décision initiale de ne pas renouveler ces placements avait été prise par le contrôleur municipal Brad Lander, allié politique de Mamdani. Lander avait justifié cette décision par une politique générale visant à éviter l’endettement auprès de gouvernements étrangers, Israël ayant jusqu’alors constitué une exception à cette règle.
Dans une interview diffusée par CBS New York, Mamdani a nuancé sa position. S’il s’oppose à restaurer ces investissements, il ne s’est pas prononcé clairement en faveur d’une divestiture totale des entreprises israéliennes.
Il a insisté sur le fait que la ville devrait concentrer ses ressources et ses actions là où elle est « directement impliquée » dans des violations du droit international. Cette approche traduit une volonté de rester pragmatique, tout en marquant une rupture avec les décisions financières antérieures concernant Israël.
Une posture politique à double tranchant
Le positionnement de Mamdani illustre une stratégie politique délicate. D’un côté, il s’aligne avec l’aile progressiste et diversifiée de l’électorat new-yorkais, qui prône un contrôle plus strict sur les investissements publics et une attention accrue aux questions de justice internationale. De l’autre, il doit gérer le risque de polarisation : l’opinion publique, y compris au sein de la communauté juive de New York, pourrait percevoir sa position comme critique vis-à-vis d’Israël, ce qui pourrait être exploité par ses adversaires politiques.
Cette posture reflète également une nouvelle approche de la diplomatie municipale. Mamdani semble suggérer que la ville n’a pas vocation à intervenir dans des conflits internationaux par le biais de ses investissements, sauf lorsque ses intérêts ou ses responsabilités sont directement engagés. En d’autres termes, il sépare la gestion des finances publiques de la politique étrangère classique, tout en signalant une conscience des implications morales et juridiques des placements de la ville.
La montée de Mamdani sur la scène politique new-yorkaise est significative. Il incarne un type de leadership différent : issu d’une minorité ethnique, proche des mouvements communautaires et progressistes, et capable de transformer une notoriété locale en une candidature crédible pour la mairie. Il est représentatif d’une génération de politiciens urbains qui s’appuient sur l’expérience de terrain plutôt que sur les réseaux traditionnels et les relations politiques établies.
En résumé, Zohran Mamdani, originaire de New York et fils d’une famille immigrée d’Asie du Sud, est devenu en quelques mois une figure politique à suivre. Sa décision de ne pas rétablir les investissements de la ville dans les obligations israéliennes souligne sa volonté de réorienter la politique financière municipale tout en restant attentif aux questions éthiques et juridiques.
Sa campagne marque ainsi une rupture symbolique avec les pratiques traditionnelles et illustre l’émergence d’une nouvelle génération politique, capable de concilier pragmatisme financier et engagement moral. Il a promis le lune a ses supporters, on verra s'il retablira la sécurité et les finances de la plus grande ville du Monde
Cet article est personnel, je ne prétends pas être ni un scientifique, ni un historien, ni un professionnel du journalisme...
C'est délicat de témoigner quand on est un profane, mais dans ce blog, j'exprime en général un coup de coeur
d'après l'actualité , et le lecture de ma revue de presse internationale quotidienne
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