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Le 12 Août 2025, Selon un rapport de l’agence AP, Israël est en pourparlers avec le Soudan du Sud pour envisager la réinstallation de Gazaouis dans ce pays.
Les relations entre Israël, le Soudan et le Soudan du Sud, dans le contexte des Accords d’Abraham, de la guerre au Soudan, et de la visite du ministre des Affaires étrangères du Soudan du Sud en Judée-Samarie.
🇫🇷 Soudan et Soudan du Sud : deux trajectoires opposées face à Israël
La visite du ministre des Affaires étrangères du Soudan du Sud, en août 2025, dans les régions de Samarie et de Binyamin (Judée-Samarie) constitue un acte diplomatique fort et hautement symbolique. Devant les caméras, il a salué un lieu “porteur de bénédictions” et réaffirmé l’engagement de son pays aux côtés d’Israël. Ce geste, à la fois politique et spirituel, contraste fortement avec la situation tragique du Soudan voisin, plongé dans une guerre civile sanglante malgré sa signature des Accords d’Abraham en 2021.
Le Soudan et le Soudan du Sud, bien qu’issus d’un même territoire, ont emprunté deux voies radicalement différentes depuis la partition de 2011. Le Soudan, dirigé pendant des décennies par des régimes militaires islamistes, a longtemps été un bastion du terrorisme régional et un ennemi déclaré d’Israël. Si sa signature des Accords d’Abraham en 2021 semblait augurer un tournant, la réalité politique du pays a vite rattrapé l’illusion diplomatique. Depuis 2023, une guerre civile d’une violence extrême dévaste le pays, causant la mort de centaines de milliers de personnes, le déplacement de millions d’autres, et l’effondrement total des structures de l’État. Dans ce contexte, la normalisation des relations avec Israël n’a pas dépassé le stade symbolique.
À l’inverse, le Soudan du Sud – qui a conquis son indépendance après une longue lutte contre le Nord – a toujours affiché une proximité claire avec Israël. Dès sa création en 2011, ce jeune État africain chrétien a recherché le soutien de l’État hébreu, non seulement pour son développement militaire et agricole, mais aussi en tant que partenaire spirituel et politique. Israël a répondu présent, voyant dans le Sud-Soudan un allié naturel en Afrique, et un modèle de peuple en quête de liberté, d’indépendance et de reconnaissance internationale.
La visite du ministre sud-soudanais dans des territoires qualifiés de « disputés » par la communauté internationale – Judée et Samarie – est en elle-même un message audacieux. Elle indique une volonté claire de soutenir Israël non seulement dans ses frontières de 1967, mais également dans ses régions historiques et bibliques. Cela brise le consensus diplomatique occidental souvent frileux sur ces territoires, et montre qu’une voix africaine chrétienne peut affirmer son soutien à Israël sans complexe ni crainte des pressions internationales.
Plus largement, la divergence entre les deux Soudan reflète un clivage géopolitique plus profond : entre les États qui sombrent dans le chaos tout en exploitant les discours diplomatiques creux, et ceux qui, malgré leur fragilité, choisissent de s’ancrer dans des alliances sincères, fondées sur des valeurs de souveraineté, de solidarité et de foi. Alors que le Soudan s’enfonce dans la violence et l’oubli, le Soudan du Sud envoie, depuis les collines de Judée-Samarie, un signal clair : l’amitié avec Israël n’est ni opportuniste, ni temporaire — elle est durable, loyale et assumée.
🇬🇧 Sudan and South Sudan: Two Opposing Paths in Relation to Israel
The visit of South Sudan’s Foreign Minister to Samaria and Binyamin in August 2025 is not just a diplomatic gesture—it is a declaration of loyalty and shared values. As he stood in what he called a “place of blessings,” the minister reaffirmed his country’s enduring friendship with Israel. This highly symbolic act stands in stark contrast to the turmoil unfolding in neighboring Sudan, which, despite having signed the Abraham Accords, is now embroiled in one of the deadliest civil conflicts in modern African history.
Sudan and South Sudan, though born of the same territory, have taken radically different geopolitical and moral paths. Sudan, governed for decades by Islamist and military elites, long served as a hub for terrorism and anti-Israel sentiment. Even though it formally joined the Abraham Accords in 2021, its internal instability and the eruption of civil war in 2023 have rendered any diplomatic progress with Israel hollow. Hundreds of thousands of people have died, and the promise of normalization has evaporated in a sea of chaos, tribal conflict, and regional rivalries.
In contrast, South Sudan, which gained independence in 2011 after decades of war, has consistently aligned itself with the West and with Israel. The bond between South Sudan and the Jewish state is rooted in shared struggles for survival, identity, and sovereignty. From military cooperation to agricultural development, Israel has supported South Sudan’s fragile state-building process. The recent visit to Judea and Samaria reflects a deep ideological alignment: South Sudan sees in Israel not just an ally, but a symbol of resilience and divine blessing.
Moreover, the South Sudanese delegation’s presence in areas considered “disputed” by the international community—Judea and Samaria—sends a powerful message. It challenges the dominant narrative that delegitimizes Israel’s presence in its historic heartland and affirms that African Christian nations may stand proudly with the Jewish people, regardless of international pressure.
This divergence between Sudan and South Sudan exemplifies a broader fault line in international politics: between regimes that exploit diplomacy while tolerating violence and chaos, and those that embrace values of sovereignty, peace, and mutual respect. In this context, South Sudan’s actions speak louder than treaties. While the North is engulfed in bloodshed, the South is extending a hand of friendship from the hills of Samaria.
🇪🇸 y Sudán del Sur: Dos caminos opuestos frente a Israel
La visita del ministro de Relaciones Exteriores de Sudán del Sur a Samaria y Binyamin en agosto de 2025 es mucho más que una cortesía diplomática. Es un acto de afirmación ideológica y espiritual. Al declarar el lugar como “lleno de bendiciones”, el ministro expresó la profunda conexión que su país siente hacia Israel. Este gesto contrasta fuertemente con la tragedia que vive Sudán, su vecino del norte, inmerso en una guerra civil devastadora a pesar de haber firmado los Acuerdos de Abraham.
Sudán y Sudán del Sur, aunque comparten historia y territorio, han tomado caminos completamente distintos. Sudán, gobernado históricamente por militares e islamistas radicales, fue durante décadas un bastión de hostilidad hacia Israel. Aunque se unió formalmente a los Acuerdos de Abraham en 2021, el estallido del conflicto interno en 2023 ha desmantelado cualquier esperanza de normalización real. Cientos de miles de muertos, desplazados y la descomposición del Estado hacen que ese acuerdo parezca hoy letra muerta.
Sudán del Sur, por el contrario, ha demostrado coherencia y amistad. Desde su independencia en 2011, ha buscado estrechar vínculos con democracias, y especialmente con Israel. Ambos pueblos comparten una historia de sufrimiento, resistencia y búsqueda de identidad. Israel ha brindado ayuda militar, tecnológica y humanitaria al joven Estado africano, y su visita reciente a los territorios bíblicos refleja no solo una alianza política, sino también un vínculo espiritual.
La presencia de la delegación sursudanesa en Judea y Samaria —territorios que muchos consideran “en disputa”— es un mensaje desafiante. Sugiere que el reconocimiento de Israel y de su historia milenaria no tiene por qué estar sujeto a la narrativa dominante de la comunidad internacional. Hay naciones en África que no temen manifestar su solidaridad con Israel incluso en los lugares más controvertidos.
En resumen, mientras Sudán se hunde en el caos, Sudán del Sur alza su voz desde las colinas de Samaria para afirmar que su amistad con Israel es firme, sincera y duradera. En un mundo lleno de diplomacia vacía, este gesto tiene un valor inmenso.
🇮🇱
סודאן וסודאן הדרומית: שני נתיבים מנוגדים ביחס לישראל
הביקור של שר החוץ של דרום סודאן בשומרון ובבנימין באוגוסט 2025 היה לא רק מהלך דיפלומטי, אלא הצהרה ערכית עמוקה. בנאומו במקום אותו כינה “מלא ברכה”, הדגיש השר את מחויבותה של מדינתו לישראל. זאת בשעה שסודאן השכנה מדרום נתונה בתוהו ובוהו קטלני, אף על פי שחתמה על הסכמי אברהם לפני מספר שנים.
סודאן וסודאן הדרומית, שיום אחד היו מדינה אחת, צעדו מאז הפיצול ב-2011 בדרכים הפוכות. סודאן נשלטה לאורך שנים על ידי גנרלים וקיצונים איסלאמיים, הייתה מוקד לטרור ולעוינות כלפי ישראל. גם לאחר שחתמה על הסכמי אברהם ב-2021, האלימות שפרצה במדינה ב-2023 הפכה את הנורמליזציה למילים ריקות. מאות אלפי הרוגים, פליטים והתפרקות שלטונית מוחלטת.
לעומתה, דרום סודאן שמרה על קשרים חמים עם ישראל מאז הקמתה. שתי המדינות חוו מאבקים לעצמאות, ניסיונות מחיקה, ומלחמות הישרדות. ישראל סייעה לדרום סודאן בצבא, בחקלאות ובפיתוח. ביקור השר בשומרון מצביע על קשר עמוק יותר – חיבור אידיאולוגי ותרבותי. מבחינת דרום סודאן, ישראל היא לא רק שותפה, אלא דוגמה לעם ששב לארצו ושגשג.
עצם הביקור בשטחים שנחשבים “שנויים במחלוקת” כמו יהודה ושומרון הוא הצהרה נועזת. זהו מסר לעולם – דרום סודאן לא מקבלת את הנרטיב האנטי-ישראלי הרווח, והיא בוחרת לעמוד לצידה של ישראל גם היכן שרבים בוחרים לשתוק.
בעולם בו בריתות רבות נשענות על אינטרסים ולא על ערכים, הביקור הזה מבליט את ההבדל בין צפון לדרום. בעוד שסודאן שוקעת בדם, דרום סודאן בוחרת בברית עם מדינה יהודית דמוקרטית – ובכך משמיעה קול ברור של תקווה ואמונה.





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